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09/10/2022
La mise en place du jardin
Certaines personnes pratiquent le "jardinage intuitif". Elles se laissent notamment guider par les intelligences subtiles de la nature pour concevoir leur jardin. Cela tend à créer des formes harmonieuses qui rentrent en adéquation avec les énergies qui sont présentes spécifiquement sur le lieu. Cette harmonie dans les énergies présentes participent à la création d’un jardin productif et vitalisant pour les plantes, les hommes, et si on y croit, les consciences subtiles qui vivent également sur le lieu. Pour les curieux, il peut être intéressant de regarder ensuite quelles sont les énergies qui sont présentes sur les zones de culture par exemple.
Si vous souhaitez essayer le jardinage intuitif, c’est très simple. Munissez-vous de baguettes coudées, et demandez à être accompagné dans la conception de votre jardin en vous reliant aux énergies présentes sur le lieu. Vous les appelez comme vous vous voulez, du moment que cela vous parle. Vous pouvez demander le nombre de zones de culture à créer, qui correspondra ainsi au nombre de formes à dessiner.
Dirigez-vous ensuite dans votre jardin et demandez à ce que les baguettes se croisent à l’endroit où une zone de culture pourra être créée. Ensuite, il suffit de vous laisser guider par les baguettes, qui vous indiqueront le sens de la marche. Elles dessineront avec vous la forme que prendra votre zone de culture. Déposez des piquets par exemple, au fur et à mesure de votre progression, et découvrez la forme qui se dessine. Vous pouvez imposer mentalement la convention « les baguettes se ferment quand la première forme est terminée ». Il vous suffit ensuite de réitérer le procédé s’il y a d’autres zones à réaliser.
La dynamisation des semences et des plants
Il existe un outil pour dynamiser les semences et les plants. Mais tout d'abord qu’est-ce qu’on entend par dynamiser ? Il s’agit d’augmenter leur taux vibratoire, ce qui a tendance à améliorer la germination des graines et ce qui procure une croissance plus vigoureuse des jeunes plants.
Pour y parvenir, il est possible d'utiliser au jardin une forme spécifique, une pyramide. Elle agit comme un condensateur d’énergie cosmique et tellurique. On distingue deux types de forme couramment utilisés : la pyramide Nubienne, qui a une base carrée étroite, et qui est particulièrement recommandée pour la dynamisation des semences, et la pyramide de Khéops, qui possède une base plus large favorisant l’ancrage des jeunes plants. Les deux peuvent être cependant utilisés pour dynamiser les plants et semences sans distinction.
Ces pyramides semblent toutes indiquées pour manifester l’équilibre énergétique dans la matière, avec la base carrée, symbolisé par le « 4 », le monde matériel et l’univers créé, et les triangles, symbolisé par le « 3 », la Trinité, et la reliance cosmique.
Vous pouvez tenter de fabriquer vous-même vos propres pyramides avec des baguettes de cuivre par exemple, en veillant à bien respecter les proportions de ces deux pyramides. Pour une efficacité maximale, il est importante de correctement orienter la pyramide : l’aiguille de la boussole doit être perpendiculaire à un des côtés de la pyramide, autrement dit les côtés de la base sont orientés N/S et E/O. Il vous suffira ensuite de disposer à l’intérieur de ces pyramides vos graines et plants pour voir les résultats étonnants que cela peut fournir. Pour les graines, il est recommandé de les laisser quelques jours avant de les semer.
Vous pouvez vous procurer des pyramides ici : https://tidd.ly/3fScQBe
La dynamisation des cultures
Alors il est également possible d’utiliser les pyramides pour booster les récoltes, soit en mettant directement une pyramide dans votre jardin (et vous verrez les résultats principalement dans celle-ci), ou alors en mettant vos futurs récoltes de bulbes ou de tubercules dans la pyramide pour les dynamiser avant de les mettre en terre, comme pour vos pommes de terre par exemple.
La dynamisation des cultures permet de favoriser la croissance des plantes, la fructification et globalement le développement des nouveaux organes comme les fruits des plantes que nous consommons. Cela améliore également la résistance aux agressions extérieures.
Les Anneaux Lakhovsky
Ces anneaux sont inspirés des circuits oscillants du chercheur Georges Lakhovsky. Ils visent à créer un champ électromagnétique naturel autour d’une plante, ce qui tend à la dynamiser. C’est une technique intéressante pour les plantes en faiblesse.
Pour réaliser un anneau Lakhovsky, il suffit simplement de créer une boucle avec un fil électrique rigide en cuivre, en dénudant les extrémités sur quelques centimètres. Les 2 extrémités ne se touchent pas, l’une est positionnée parallèlement au-dessus de l’autre, et le circuit est idéalement penché à 30°. Le côté Sud est surélevé, et l’ouverture dénudée est positionné vers le bas et le Nord. Il est préférable d’éviter le contact avec le sol, et la plante, qui est placée au centre du circuit. Cette inclinaison de 30° peut être réalisée en fixant l’anneau à trois piquets en plastique ou en bois, bien planté en terre.
Cependant l’important est vraiment l’ouverture de la boucle et la position de l’ouverture vers le Nord, l’inclinaison permet d’augmenter les effets, mais n’est pas indispensable. C’est véritablement l’interaction entre le champ magnétique terrestre et la boucle en cuivre qui va vitaliser la plante.
Les anneaux Lakhovsky font partie de ce qu’on appelle l’électroculture, qui est une discipline qui regroupe un ensemble de techniques utilisant les courants électriques atmosphériques et telluriques, les rayonnements cosmiques et le champ magnétique terrestre afin de stimuler la germination, la croissance et le développement des plantes.
Les Antennes d’électroculture
L’électroculture part du principe que l’électricité est la source de vie de tout ce qui vit sur terre. La concentration en électricité naturelle dans le sous-sol va développer la faune microbienne absolument nécessaire à la vitalité et la bonne santé des végétaux.
Les champs électriques atmosphériques et telluriques facilitent également le processus d’ascension de la sève reposant sur le principe de l’électro-osmose, qui est un principe fondamental de la nutrition des végétaux. Matteo Tavera parle de « La Mission Sacrée » des végétaux : la différence de potentiel au niveau électrique entre la terre (chargé négativement) et le ciel (chargé positivement) créée cet électro-osmose. Il s’agit donc d’un transfert d’énergie du sol vers l’air, à travers les plantes, qui est primordial pour la remontée de la sève.
Une autre manière de capter les énergies environnantes cosmo-telluriques, est ainsi d’utiliser une antenne d’électroculture à proximité de vos plantes, qui n’est ni plus ni moins qu’une tige plantée dans le sol, avec des pointes en métal à son extrémité, dirigées vers le ciel. Il existe une multitude d’antennes atmosphériques dans les formes et les matériaux utilisés, mais les principes restent les mêmes : c’est l’utilisation de l’effet de pointe et l’utilisation de la différence de potentiel entre deux métaux.
Ce qui est en général recommandé est d’utiliser des pointes en aluminium ou en zinc, et une tige en cuivre, ce qui va favoriser les mouvements d’électrons, et dynamiser la vie du sol et les plantes.
En général, on considère que sur une terre normale, les effets de l’électroculture se feront sentir dès la première année. Par contre sur une terre gorgée d’engrais chimiques et de pesticides, il faut reconstituer la faune microbienne du sol et un délais de deux à quatre ans est nécessaire pour sa remise en état.
Les tours d’énergie
Les tours d’énergie sont inspirés des tours rondes que nous trouvons en Irlande, qui émettent des ondes Schuman qui sont des ondes propices à la vie dans son ensemble. Les fermiers venaient faire paitre leurs bêtes à proximité de ces tours, considérant l’herbe comme tout simplement « meilleure ». Ces propos ont interpelé Philip Callahan, spécialiste des ondes radiophoniques, qui s’est intéressé au sujet. Il a remarqué que ces tours sont faites de grès, de calcaire et de basalte, et qu’elles possèdent donc des propriétés paramagnétiques, c’est-à-dire que les particules qui les composent ont la faculté de s'orienter en fonction d'un champ magnétique constant, comme celui de la Terre. Pour Callahan, elles agiraient comme un capteur des énergies cosmique et un amplificateur d’ondes magnétiques, bénéfiques à la vie aux alentours.
Ces tours font partie de ce qu’on appelle la magnéto-culture, qui consiste à utiliser les énergies telluriques afin de les amplifier localement. Plus précisément, c'est l'énergie du champ magnétique terrestre qui va être mobilisée et concentrée sur des points géobiologiques précis, comme des cours d'eau ou des réseaux géomagnétiques. Cela permet de la faire puissamment rayonner sur l'ensemble du terrain. Cette énergie amplifiée améliore la croissance des plantes, leur vitalité, leur productivité et la qualité des fruits et légumes (comme le goût et la consistance).
Je ne vais pas vous recommander de construire une tour de 20 mètres dans votre jardin, bien évidemment. Des personnes se sont inspirées de ces tours irlandaises pour créer des tours d'énergie en modèle réduit, avec des matériaux disponibles chez nous. Ils utilisent pour ce faire un tuyau en terre cuite (type tuyau d'assainissement), d'au moins 15cm de diamètre et d'au moins 1.5m de hauteur, ainsi que du basalte. Cette dernière est une roche volcanique paramagnétique, disponible abondamment sur Terre.
Il vous suffit ensuite de déterminer aux baguettes l'endroit idéal dans votre jardin pour implanter cette tour d'énergie. Pas de panique cependant si vous ne savez pas utiliser d'outils de radiesthésie : placez simplement cette tour au Sud de votre jardin (elle rayonnera donc principalement vers le Nord). Le fait de la positionner sur des énergies telluriques permet en revanche d'amplifier ses effets.
Vous pouvez également rechercher le sens correcte de votre tour, en la tournant de manière circulaire sur elle-même. En effet, lors de la cuisson, l’argile s’est figé dans une certaine direction, et il est possible d’obtenir le sens idéal, en recherchant au pendule par exemple la partie qui devrait être orientée vers le Nord. Il s'agit cependant ici d’optimisation, et de détail.
Enterrez enfin la tour d'environ 30 à 40 cm, remplissez la de basalte, et votre tour est prête !
Si vous aimez travailler avec les pierres, rien ne vous empêchent de tester quelle pierre seraient bienvenue également dans votre tour pour son information vibratoire.
Vous pouvez ensuite regarder aux baguettes le périmètre d’influence vibratoire de cette tour, et vous pourriez être surpris. Enfin, vous pouvez demander sur quelles énergies géobiologiques a été positionnées votre tour (cours d’eau, réseaux géomagnétiques, cheminées, ou un cumul d’énergie). Cette recherche peut vraiment être intéressante pour en connaître plus sur ces tours d'énergie et les énergies qui y sont liées.
Des fréquences spécifiques pour dynamiser les plantes
Vous l’autre compris, les plantes sont sensibles aux variations géomagnétiques terrestres. Cependant elles sont généralement sensibles aux fréquences environnantes quelle quelles soient. Par exemple, le bombardement sans intermittence d’ondes électro-magnétiques comme les ondes radio, les antennes relais, ou encore les radars, génèrent sur les cellules des plantes des déséquilibres qui peuvent induire des maladies.
Par conséquent, ces plantes sont également sensibles aux couleurs, qui émettent sur certaines gammes de fréquences spécifiques, et bien évidemment aux sons et à la musique. Il est intéressant de faire remarquer que la lumière, en passant par le prisme de la matière, se divise en 7 couleurs. Le son primordial « Aum », en passant par la matière vibratoire, génère 7 notes : do-ré-mi-fa-sol-la-si, et on peut trouver une correspondance entre les 7 couleurs et les 7 notes.
La musicien et musicothérapeute Franck Nabet, en collaboration avec l’ingénieur agronome Yannick Van Doorne, a élaboré des sons utilisant le diapason 432Hz pour les plantes. Les expérimentations démontrent qu’on peut atteindre des rendements sur les végétaux supérieurs à 50% avec le 432Hz, sans engrais. Globalement des musiques harmonieuses, comme celles de Mozart, auront un effet bénéfique sur les plantes. Les genres musicaux qui donnent les meilleurs résultats sont la musique classique du sud de l’Inde, la musique classique en générale et le Jazz, mais n’hésitez pas à faire des essais chez vous.
La dynamisation de l’eau
L’eau est un élément dispensable à la vie sur Terre. Elle est porteuse d’une vibration et d’une vitalité particulière, qui est capable de dynamiser les végétaux. Cependant il est important de distinguer le taux vibratoire du taux de vitalité de l’eau.
Le taux de vitalité concerne la mise en mouvement de l’eau. Si elle est stagnante, les molécules d’eau ont tendance à s’agglomérer en grappes grossières, appelé clusters, qui sont moins facilement assimilable pour les plantes qui doivent dépenser de l’énergie pour casser ces clusters en molécules plus simples. Si l’eau est en mouvement au contraire, comme dans une rivière, les molécules sont mois agglomérées, et l’eau est en plus oxygéné par les multiples vortex qui se créent dans l’eau avec le mouvement.
Vous l’aurez compris, si vous souhaitez dynamiser votre eau, il ne faut pas hésiter à créer des vortex en la remuant, ou en installant un système d’eau circulante.
Ces méthodes concerne le plan physique de l'eau, qui impacte sa vitalité. Cependant il existe également un aspect vibratoire, qui concerne la structure, et donc l’information, c’est-à-dire comment les molécules d’eau s’imbriquent les unes dans les autres harmonieusement. Le taux vibratoire peut être augmenté de manière énergétique, en utilisant par exemple les pyramides évoqués plus haut, des ondes de forme comme le triskel, ou encore des prières. Si vous êtes intéressé par cette question de l’eau, n’hésitez pas à mesurer l’eau d’une fontaine reliée à une église par exemple. Parfois l’eau peut être stagnante, mais le taux vibratoire peut être étonnant.
Conservation
Je vous donne une astuce pour conserver vos légumes en utilisant les énergies des réseaux telluriques. Si vous souhaitez conserver des pommes de terre, des oignons, de l’ail et des échalotes, recherchez le réseau Peyré, et placez les sur une bande ou un nœud négatif. Cela permettra de limiter leur germination. Pour les autres légumes et la plupart des fruits, mettez les plutôt sur une bande ou un nœud positif du réseau Curry.
Timothée Morin
06/10/2022
Dans les sites sacrés construits par les bâtisseurs, rien n’est laissé au hasard. Je vous transmets ici des clés pour pouvoir commencer à déchiffrer certains de ces mystères. Vous saurez faire le lien entre les symboles présents dans certains lieux sacrés, et les énergies qui ont été associées par les bâtisseurs initiés.
Quel est le lien entre la geobiologie et les sites sacrés ?
La géobiologie ne se limite pas à l’harmonisation des habitats, c’est l’étude des énergies telluriques et cosmiques d’un lieu. La géobiologie sacrée est donc l’étude des énergies des lieux hautement vibratoires. Elle est dite « sacrée » puisque les connaissances des diverses énergies invisibles ont été utilisées au fil de l’histoire et dans différentes civilisations pour élever spirituellement les êtres humains, pour favoriser une profonde connexion cosmique et tellurique vitalisante, et pour favoriser des états modifiés de conscience. Ce n’est pas un hasard si des cathédrales, églises ou chapelles ont été érigées à l’emplacement même où se trouvaient auparavant des menhirs et des dolmens, vénérés par les Celtes.
Comment les bâtisseurs initiés réussissaient à faire cela ? En créant des architectures harmonieuses qui canalisent et concentrent certaines énergies spécifiques, en créant un cheminement bien défini dans le site sacré, qui fait que nous passons d’une énergie à une autre dans un but bien précis, que nous voyons certains symboles qui portent une énergie définie, et qui parlent directement à notre inconscient.
La géobiologie sacrée est vraiment la voie du cœur, plutôt que la voie de la raison. Quand nous visitons un site sacré, il ne faut pas nécessairement chercher à comprendre avec le mental, mais ressentir la puissance du lieu. Cependant le fait d'avoir certaines connaissances va aider à conscientiser pourquoi nous ressentons quelque chose de particulier.
L’énergie des veines d’eau souterraines
La construction d’un lieu de culte — qu’il s’agisse d’un dolmen, d’un temple gallo-romain ou d’une cathédrale gothique — peut être comparée à celle d’un instrument de musique. Le monument doit être mis en vibration par les rayonnements de l’eau souterraine au-dessus de laquelle il est situé, et avec laquelle il résonnera en permanence.
Les énergies des cours d’eau souterrains ont donc été utilisées et maitrisés par les bâtisseurs dans les lieux sacrés. Ces rayonnements sont émis par le frottement de l’eau des veines d’eau souterraines contre les parois rocheuses, qui se situent en profondeur sous le site. Ils arrivent jusqu’à la surface et font vibrer les pierres du monument.
La construction est réalisée dans le but d’optimiser cette vibration. Chaque pierre est choisie, orientée et positionnée de façon à amplifier le phénomène, et à vibrer positivement. L’ensemble de la construction est faite pour canaliser les rayonnements de l’eau.
Par contre, si votre maison est placée au-dessus de sources souterraine, alors cela pourra être perturbant pour vous, notamment si les rayonnements sont intenses et localisés, notamment à l’emplacement des lits.
Selon les époques et les continents ces énergies prenaient diverses appellations ou représentations, comme :
Les Vouivres :
C’est un animal mythologique dont l’origine remontait aux Celtes. Elles sont représentées sous la forme d’un serpent ou dragon, et symbolisent l’énergie émanant de la Terre. Attention cependant, les Vouivres ailées représentent les forces cosmiques.
Les Dragons :
C’est un Animal symbolique que vous connaissez, très souvent sculpté sur les poutres des chapelles ou des églises, afin de désigner le positionnement des veines d’eau.
Les Sirènes :
Si la Sirène tient sa queue dans sa main, cela signifie que le bâtisseur a maitrisé les effluves telluriques par son savoir.
L’Escargot , ou encore d’autres animaux comme les batraciens, peuvent également signifier que le site a été construit sur de l’eau souterraine.
Vous l’aurez compris, les rayonnements des veines d’eau ont une importance capitale pour l’implantation d’un site sacré. Leur action est d’ordre énergétique. Une pierre qui est « vibrée » positivement par l’eau et mise dans l’axe du soleil va rayonner une énergie naturelle favorable aux organismes vivants. Elle optimise l’énergie des personnes qui se trouvent à l’intérieur du monument, là où l’intensité est la plus élevée, et favorise l’accès à une compréhension supérieure qui n’est plus intellectuelle. Cet éveil subtil, spirituel qui est recherché, pourrait être comparé à l’inspiration de l’artiste. Dans certains lieux, cette action bénéfique est réputée si puissante qu’elle pourrait aboutir à une guérison physique, c’est pourquoi on parle de fontaines miraculeuses ou encore de pierres guérisseuses.
Les menhirs, dolmens, chapelles, ou encore cathédrales sont autant d’antennes, plus ou moins puissantes, pour capter les ondes naturelles et les condenser sur place.
Un dernier point intéressant sur l’utilisation des cours d’eau souterrains : les édifices sacrés sont bâtis sur de hauts lieux cosmo-telluriques, dans lesquels l’emplacement de l’autel est crucial. En effet, tout le lieu sacré était ensuite dessiné autour de celui-ci. Pour déterminer sa place dans la plupart des lieux de culte, les bâtisseurs recherchaient un croisement de cours d’eau en sous-sol, et en surface le réseau « solaire ». L’objectif était d’exploiter la rencontre d’une énergie montante de la Terre et d’une énergie cosmique descendante.
Le symbolisme des croix
La croix a été de tout temps un symbole fondamental. Elle n’est pas, comme nous pourrions le croire, une invention des chrétiens désireux de se rappeler la mort de Jésus. Son utilisation est attestée dès la plus haute antiquité. On la trouvait dans l’Egypte ancienne sous la forme de la croix ansée ou la croix de vie. Elle était un symbole de la vie.
Les Anciens aimaient dessiner une croix faite des deux mots grecs qui signifie « lumière » et « vie » : phos et zoè.
La croix est également le symbole de l’orientation totale : dans le temps (que deviendrait un arbre qui voudrait ignorer ses racines ?), dans l’espace et en nous-même. La croix organise l’horizontal avec les quatre points cardinaux, elle réunit l’horizontal et le vertical. La place de l’homme est au centre à la croisée de forces divergentes qui sont sa croix. Ces énergies contraires sont signifiées par le haut et le bas, l’Est et l’Ouest, le Nord et le Sud.
Le symbolisme des chiffres
Le Quadrivium désigne les 4 disciplines dont l’ensemble constitue les sciences mathématiques : arithmétiques, géométrie, musique et astronomie. Elles font partie de ce qu’on appelait les « sept arts libéraux » ou encore les « sept voies de la connaissance », les trois autres disciplines étant la grammaire, la rhétorique et la dialectique qui forment le Trivium. Pour un grand nombre de nos contemporains, ces mots de Trivium et Quadrivium ne veulent plus rien dire, mais pourtant leurs connaissances étaient très utilisées par les bâtisseurs.
L’arithmétique est traditionnellement le premier livre du Quadrivium, dans lequel est intégré la signification symbolique des chiffres. En effet, les nombres n’ont pas toujours été qu’une simple indication quantitative comme ils paraissent l’être aujourd’hui. Si nous remontons aux origines lointaines de la pensée occidentale, il semble bien que le nombre fut d’abord perçu comme porteur d’une détermination qualitative.
Le 1 est l’origine, la source, le principe : « Tout l’univers est contenu dans l’Unité »
Il est symbolisé par un point, souvent représenté à l’intérieur d’un cercle. Imaginez une pierre qui tombe sur la surface calme d’un lac. Des ondes concentriques se forment et se répercutent jusqu’au bord de la rive. Tout est parti du point-centre où s’était concentrée l’énergie provoquée par la chute de la pierre : le point-centre est l’origine de tout.
Le 2 symbolise soit la séparation, soit la rencontre
Il est le nombre de l’union, de la coopération, mais peut également devenir emblème de la scission et de la rupture. La dualité est une des choses les plus difficiles à gérer car le 2 est chargé de toute l’ambiguïté de nos vies où nous sommes tour à tour rassembleurs ou diviseurs. Toutes les traditions philosophiques ou religieuses nous apprennent que l’homme sage ne doit pas se laisser entraîner par le "diabole" (le diable, facteur de division) mais guider par le "symbole" (conciliateur et garant de la communion), l’un pouvant être le germe d’une évolution créatrice, et l’autre d’une involution désastreuse.
En architecture, le 2 est souvent rappelé par les 2 colonnes que l’on retrouve à l’entrée des temples et des églises.
Le 3 est le symbole de l’esprit
Il représente l’harmonie retrouvée quand l’opposition thèse-antithèse parvient à se résoudre dans la synthèse.
Pour les chinois, le 3 symbolise l’harmonie de la vie, et le mouvement. Le Yin et le Yang sont des forces qui s’opposent et s’attirent sans s’annuler, et qui donnent naissance à l’harmonie lorsque les deux s’équilibrent.
Le 4 est le nombre de la matière
Cette conviction que le 4 est le chiffre du terrestre, du créé, se retrouve dans tous les courants de pensée, de l’Orient à l’Occident, et dans toutes les civilisations amérindiennes.
Le 4 évoque la Terre avec ses 4 points cardinaux, avec les 4 éléments qui la composent (terre, feu, air, eau), avec les 4 saisons (division de l’année suivant les solstices et les équinoxes),…
Le 5 est le nombre de la vie même
Les alchimistes parlent de quintessence : la cinquième essence, l’éther, ou encore appelé Qi, prana ou mana dans d’autres cultures. C’est l’énergie vitale. Le 5 marie le principe masculin et féminin, en tant que deux et trois dans certaines cultures, ou trois et deux dans d’autres, étant de ce fait le nombre universel de la reproduction et de la vie biologique.
Pour certains auteurs, c’est également le chiffre de l’être humain.
On le retrouve en architecture à travers le symbole de l’étoile à cinq branches.
Le symbolisme des formes
La géométrie est le second livre du Quadrivium. Il comprend l’ensemble des savoirs ayant trait à l’étude des figures tracées dans le plan et l’espace.
Du Point au Cercle
Comme le chiffre 1, le point-centre marque l’origine, le lieu où toute l’énergie est concentrée et d’où elle va se diffuser à l’entour. On peut comparer le point à la petite graine qui porte en elle l’espérance d’un arbre majestueux. En explosant, le point-centre engendre le cercle, ligne sans commencement ni fin, qui va symboliser l’éternité, l’infini, le ciel. A noter que le cercle primordial est souvent représenté au Moyen-Âge sous la forme d’un labyrinthe… qui permet d’inclure le cheminement en spirale de la voie initiatique.
Lorsqu’on est dans un lieu sacré, il est important d’être attentif au moindre signe, fut-ce un point inscrit par le bâtisseur dans l’architecture du lieu. Mais comme le point risque de passer inaperçu, les bâtisseurs ont souvent utilisé un autre symbole géométrique : l’ovale. Il exprime la même idée, à savoir l’origine et la concentration d’énergie, car l’œuf contient la promesse d’une nouvelle vie.
Le Triangle
Le triangle est le premier des polygones. Les triangles sont innombrables, réguliers ou irréguliers.
Les trois les plus fréquemment utilisés par les bâtisseurs sont le « delta lumineux », le « triangle sacré » et le « triangle lumineux ».
Le delta lumineux est le triangle équilatéral (3 côtés égaux), symbole de la perfection et de la divinité. Il symbolise la Trinité.
Le triangle sacré est le triangle rectangle dont les trois côtés font respectivement 3, 4 et 5 (donc une série arithmétique). Ce triangle symbolise pour les Grecs l’être humain ou la quintessence de l’esprit et de la matière, à travers la combinaison de l’esprit (3) et de la matière (4) qui produise l’hypoténuse (5).
Le triangle lumineux est le triangle isocèle formé de deux triangles sacrés associés. Il peut symboliser l’être humain dans sa dualité masculine et féminine (double triangle sacré).
Le Carré
Le carré avec ses 4 côtés comme 4 murs solides est tout indiqué pour représenter l’univers créé, la stabilité, la terre (comme le nombre 4).
Le symbolisme de l’ombre et de la lumière
Le quatrième livre du quadrivium est l’astronomie, la science qui étudie la position et le mouvement des astres. Le premier mot qui fut employé pour dire l’Ineffable fut « Dies » qui signifie la « lumière du jour ». Ca nous a donné Dieu en français, Deus en latin, Theos en grec,… Les jeux d’ombre et de lumière inventés par les bâtisseurs donnent vie à l’espace des lieux sacrés. Ils organisaient l’espace par rapport au temps, c’est pourquoi on parle souvent d’un temple ou d’une chapelle « orientée ».
En effet, la lumière sans cesse changeante doit pouvoir pénétrer à l’intérieur de l’édifice selon un calendrier bien défini, et propre à chaque lieu sacré. Les êtres humains d’autrefois comprenaient la relation intime entre l’astronomie et l’organisation du temps et de l’espace : ils devaient compter avec la lumière du Soleil, de la Lune et des étoiles pour se repérer.
Vous pouvez voir à certaines dates précises, comme des solstices ou des équinoxes, certaines formes se dessiner à l’intérieur d’un édifice, où la mise en lumière d’un aspect particulier dans le lieu sacré, lorsque la lumière passe par un point précis de l’architecture. Lumière et ténèbres ne sont pas deux éléments contradictoires et concurrents. Ils ne se combattent pas car la lumière est déjà présente au sein des ténèbres comme une énergie qui n’est pas encore manifestée.
« Le lumineux et l’obscur sont les deux forces primordiales : elles ne sont jamais immobiles, la raison en est qu’entre ces deux forces premières, existe un état de tension sans cesse renouvelé qui les tient en mouvement et les pousse à s’unir, et par la suite, elles s’engendrent sans cesse à nouveau » (Yi King, R. Wilhelm).
On l’a vu précédemment, dans les constructions, les pierres sont placées au- dessus de l’eau souterraine, mais elles doivent également être orientées par rapport au soleil. Cette complémentarité indispensable a toujours été respectée. De la rencontre des rayonnements de l’eau et de ceux du soleil, naît une énergie très positive par complémentarité. L’entrée d’un dolmen est en général orientée à l’est, au soleil levant. Elle peut faire face au nord- est, ce qui correspond au lever du soleil le jour du solstice d’été le 21 juin, à l’est, à l’équinoxe d’automne (le 22 septembre) ou du printemps (le 20 mars), ou encore au sud- est, c’est- à- dire au lever du soleil le jour du solstice d’hiver (le 21 décembre). D’autres orientations sont possibles entre ces dates clés, mais dans la plupart des cas elles sont toujours situées entre le 21 juin et le 21 décembre. Le choix de l’orientation est déterminé en partie par la veine d’eau qui coule sous le site. L’entrée est placée de sorte qu’à un moment de l’année les rayons du soleil pénètrent à l’intérieur du mégalithe, en rasant le sol.
Les rayonnements de l’eau, canalisés avec précision par les pierres, doivent coïncider avec ceux du soleil. Ce jour précis, l’intensité énergétique est maximale. Les Celtes ont perpétué des rites à ce moment unique de l’année où des prières et des initiations étaient très certainement pratiquées et des guérisons espérées.
Les chapelles, les églises et les cathédrales qui ont succédé aux dolmens sont orientées au soleil pour la même raison. Le lever du soleil est dans l’axe du chœur, faisant face aux personnes qui entrent dans le monument.
C’est pour ces raisons profondes et en connaissance de cause que les bâtisseurs des temples anciens puis ceux des églises et cathédrales ont toujours respecté et utilisé les lois de la lumière et des ombres. Ils ont ainsi concentré en les lieux une énorme puissance énergétique qui permet aux usagers de ces lieux de se recréer physiquement et spirituellement.
En résumé
La destination d’un lieu sacré est d’accueillir le pèlerin dans un environnement lui permettant d’accéder à un état de conscience propice à l’entendement d’une démarche, d’une pensée ou d’une parole spirituelle. Cette ambiance « vibratoire » est créée par les représentations, les symboles, les sculptures visibles sur place, mais aussi par des rayonnements naturels présents dans le lieu.
Les alignements de Carnac, le temple préhistorique de Stonehenge en Grande-Bretagne, les cathédrales de Chartres et de Reims, sont orientés au lever du soleil du solstice d’été. L’exceptionnel site mégalithique de Newgrange (datant de 3200 avant J.-C.), au nord de Dublin, en Irlande, est dans l’axe solaire du solstice d’hiver. Ce jour précis, les rayons du soleil pénètrent à l’intérieur du cairn de Newgrange par une ouverture située au-dessus du linteau d’entrée, ils suivent un couloir d’accès d’environ neuf mètres de long pour arriver dans une salle et éclairer un symbole gravé sur la pierre, un triskell.
Le triskell est constitué de trois spirales, qui symbolise l’eau, la terre et le feu, qui sont les clés de la construction d’un site sacré : l’eau souterraine qui coule sous le site, la terre sur laquelle est édifié le monument, et le feu du soleil. A noter que la salle intérieure du monument et son couloir forment une croix…
Aussi les lieux sacrés nous transmettent une information synthétique sur les structures cachées des mondes et sur les Nombres qui les créent en permanence. Et cet enseignement est offert à tous les regards par les divers monuments qu’ont construits les bâtisseurs en respectant une tradition symbolique.
Timothée Morin
06/10/2022
La vie est votre plus grand professeur. Les expériences que vous vivez sont des enseignements.
La loi de l’attraction et le pouvoir de création sont essentielles à comprendre pour changer notre regard sur notre quotidien.
“La vie mettra des pierres sur ta route. A toi de décider d’en faire des murs ou des ponts.”- Coluche
Qu’est-ce que cette loi de l’attraction ?
La loi d'attraction est simplement reconnaître la nature vibratoire de la vie. Tout comme votre lieu a un taux vibratoire, fait de l’ensemble de sa mémoire (événements passés, phénomènes énergétiques géobiologiques présents, moments vécus avec vous aujourd’hui), vous avez aussi votre propre fréquence de vibration. Par un phénomène de résonance, la loi de l’attraction nous dit juste que nous attirons ce que nous vibrons. Les expériences qui viennent à nous répondent à notre propre fréquence. Par exemple, et en simplifiant, si je suis dans la joie et la confiance, je vais attirer des situations et des personnes dans cette même vibration que moi. Par contre, si je suis dans la peur et l’angoisse, je vais attirer des situations et des personnes anxiogènes.
Après avoir compris cela, la façon de voir le monde peut être radicalement changé. En effet, si les expériences qui viennent à moi sont en adéquation avec ce que je vibre à l’intérieur, alors elles me donnent des indices sur ce que j’ai besoin de travailler en moi, c'est pourquoi la vie est notre professeur ! Si vous souhaitez connaître vos blocages, regardez votre vie, prêtez attention aux expériences qui se répètent, et vous pourrez commencer à identifier ce qui bloque.
Les vibrations profondes
A mon sens, il est important de voir les situations qui nous arrivent comme des enseignements. La vie répond à nos vibrations profondes, et pas uniquement à celles dont on est conscient dans l’instant. Nous disons souvent en géobiologie que nous n’arrivons jamais par hasard dans un lieu, que le lieu nous appelle. Effectivement si vous ressentez une attraction pour un lieu, c’est que c’est juste, c’est que vous avez quelque chose à y vivre. Il arrive cependant parfois que cette attraction, cette aspiration amène à des expériences désagréables au premier abord, mais qui sont en fait des leçons pour avancer sur notre chemin. Nous ne nous en rendons compte souvent qu'après coup.
Par exemple : vous souhaitez vous installer avec votre compagne ou compagnon, et vous recherchez un logement. Vous êtes dans une énergie de joie lors des visites, vous êtes excité.e par cette nouvelle vie qui s’annonce, et vous craquez littéralement pour une maison… Il est cependant possible que cette attraction soit due à une résonance entre une blessure que vous avez enfouie profondément en vous et qui n’a pas été guérie, et que la maison porte une mémoire en lien avec cette blessure. Le fait d’aller vivre sur ce lieu vous permettra de travailler sur cette blessure, mais aussi au lieu de potentiellement guérir un événement passé, qui est resté enkysté sous la forme d’une mémoire, par exemple.
"Certains changements vous sembleront négatifs en apparence, mais vous vous rendrez vite compte que cet espace est créé dans votre vie pour que quelque chose de nouveau émerge" - Eckhart Tolle
"Il n’y a pas de hasards, que des rendez-vous" – Paul Eluard
Je suis intimement convaincu que tout ce qui se présente à nous est bénéfique pour notre propre évolution, et que lorsqu’il est important que nous vivions quelque chose pour évoluer, nous allons vivre cette expérience.
Pour résumer, il a un phénomène de résonance ENTRE ce qui est vivant à l’intérieur de nous, que ce soit les émotions ou pensées que nous vivons dans l’instant, positives comme négatives, mais également les blessures profondes qui n’ont pas été guéries, ET tout notre environnement. Cela ne se limite pas qu'au lieu de vie comme dans l'exemple, mais cela peut vraiment s’étendre à toutes les situations du quotidien.
Attention cependant : l’idée ici n’est pas de constamment être dans l’analyse de ce qui se passe, mais le fait d’avoir conscience de ce phénomène de résonance nous permet de prendre du recul sur ce que nous vivons. Ce sont des enseignements pour nous faire grandir, pas des punitions de la vie. Ces situations nous invitent à tourner le regard vers l’intérieur plutôt que de subir une situation, de rester dans l’instant présent pour ressentir ce qu’il se passe, pour avoir plus de clarté sur des événements qui peuvent être douloureux quand nous les expérimentons.
"La vie est un mystère qu’il faut vivre, et non un problème à résoudre" – Gandhi
La clé c’est d’ÊTRE, tout simplement. D’être dans le cœur, d’être présent à soi, dans l’Amour, dans l’acceptation simple de ce qui se passe. Les événements en soi ne sont ni bien ni mal, ce sont simplement des expériences qui nous enseignent des choses. Il n'est pas simple de garder cet état d’esprit en pleine tempête, mais une fois que la situation se calme, nous pouvons la voir avec une clarté nouvelle, et commencer à guérir.
Le pouvoir de création
Il y a une autre facette à ce phénomène de résonance, une autre façon de voir cette loi de l’attraction. Si nous attirons ce que nous vibrons, nous créons aussi ce que nous vibrons. Nous avons un pouvoir de création. En modifiant nos états intérieurs, en changeant consciemment de vibration, nous pouvons créer des situations favorables pour nous.
Par exemple, si je ressens de la peur par rapport à une situation, mais que je choisis de prendre du recul sur celle-ci, de me tourner vers cette peur, de la conscientiser, et en même temps de me focaliser sur la confiance en la Vie et en moi-même, alors : je change ma vibration, et ce que je vais vivre ensuite ! Il ne s’agit pas de nier nos peurs, elles sont vivantes en nous, mais de les remettre à leur place plutôt que de se laisser embarquer par elles, plutôt que de les subir. Elles ne sont que de l’information pour nous avertir qu’il y a une blessure non résolue à l’intérieur.
Ce processus intérieur nous permet ensuite de faire de nouvelles expériences, qui vont peut-être venir guérir la peur qui s’était construite sur des expériences passées. En changeant ma vibration, c’est-à-dire ici mes émotions et mes pensées quotidiennes, si je ressens cette confiance en la Vie, cette conscience de la loi de l’attraction et de mon pouvoir de création, alors j’expérimente de nouvelles choses qui sont plus bénéfiques pour moi, et mon corps enregistre ces informations comme étant favorables. C'est ainsi que notre réalité change.
“Avec nos pensées, nous créons le monde” - Siddhartha Gautama
« La clef qui ouvre toutes les portes... La confiance » - Charlotte Savary
C’est un véritable exercice, et cela demande du temps pour que cela devienne un automatisme, mais c’est en commençant petit à petit qu’on se change soi-même.
"Sème un acte, tu récolteras une habitude ;
Sème une habitude, tu récolteras un caractère ;
Sème un caractère, tu récolteras une destinée"
Dalaï Lama
Timothée Morin
24/07/2022
Qu’est-ce qu’un champ électromagnétique ?
C'est l’association d’un champ électrique, et d’un champ magnétique. Chaque fois que nous sommes en présence d’électricité, il y a un champ électrique, c’est-à-dire des rayonnements électriques générés par le déplacement d’électrons. Si ce champ est produit par un courant continu (tout ce qui fonctionne sur batterie ou pile), le champ est constant. S’il est généré par un courant alternatif (tout ce qui est branché sur une prise de courant), il est variable. C’est à ce champ électrique variable que nous sommes exposés, puisque le courant domestique que nous utilisons chez nous est un courant alternatif 50Hz. Dès qu’il y a un champ électrique, il y a automatiquement des ondes magnétiques. A quoi fait référence ce champ magnétique ? Vous en connaissez déjà des manifestations dans la vie quotidienne: l’aimant présent sur votre réfrigérateur créé un champ magnétique, l’aiguille de votre boussole montrant le Nord est attiré par le champ magnétiques terrestre.
Un courant électrique continu induit un champ magnétique constant, et un courant alternatif, un champ magnétique variable, dont l’intensité dépend de l’intensité du courant électrique. Tout comme le champ électrique, c’est ce champ magnétique variable qui impacte notre bien-être. Plus l’intensité du courant sera importante, plus celle du champ magnétique le sera à son tour. Contrairement au courant électrique, les champs magnétiques traversent la plupart des matériaux sans être atténués. Pour vous donner une idée, pour se préserver totalement d’un champ magnétique, il faudrait 70cm de plomb
Mesure des rayonnements électromagnétiques
L’unité de mesure du champ électrique est le volt par mètre, et celui du champ magnétique qui est le plus souvent utilisé est le microtesla. Il est important de regarder ces deux composantes magnétiques et électriques pour les ondes basses fréquences, qui sont celles qui sont issues du réseau domestique.
En revanche cette distinction n’est pas nécessaire pour ce qu’on appelle les hyperfréquences. Il faut savoir que les champs électromagnétiques sont classés en fonction de leurs fréquences, dont l’unité de base est le Hertz. Lorsque nous parlons d’hyperfréquences, ou d’ondes hautes fréquences, ce sont celles qui sont comprises entre 300 MHz et 300GHz. Cependant la plupart des sources d’hyperfréquences émettent dans la gamme de 900 à 2500 MHz. Pour ces ondes en pratique, le V/M est l’unité qui est classiquement utilisé.
Quelles sont les sources d'émission des ondes hautes et basses fréquences ?
Les champs électromagnétiques basses fréquences sont émis à l’extérieur de chez vous par les lignes électriques aériennes, et chez vous par les réseaux de distribution à l’intérieur de l’habitat, par les fils électriques qui alimentent les prises de courant, et par tous les appareils électriques qui sont branchés dessus : les lampes, le lave-vaisselle, le grille-pain, la télé, l’ordinateur, le lave-linge, le frigo, le micro-onde, le four,... La liste est longue.
Les hyperfréquences concernent quant à elles tous les appareils connectés, qui émettent et reçoivent des informations. Ces ondes hautes fréquences sont donc utilisées par les téléphones portables, par les téléphones fixes sans fil, dont la base émet en continu, par les box wifi et les ordinateurs qui y sont connectés, et par l’ensemble des antennes relais qui sont nécessaires au fonctionnement du réseau, et qui sont implantées sur tout le territoire. Elles voient encore leur nombre croitre avec l’installation de la 5G. A savoir que les fours à micro-onde et les radars utilisent également des hyperfréquences.
Les normes liées aux champs électromagnétiques
Il existe des normes officielles à ne pas dépasser pour nous préserver de ces ondes. Cependant elles s'avèrent insuffisantes d’après le rapport BioInitiative de 2012, qui a étudié en profondeur cette question. Les normes basses fréquences recommandées par ce rapport sont de 10V/M (volts par mètre) pour le champ électrique, et de 0.2uT (microTelsa) pour le champ magnétique. Du fait de notre plus grande sensibilité aux champs électromagnétiques pendant notre sommeil, les recommandations des limites sont plus basses dans les chambres à coucher : 5V/M pour le champ électrique, et 0.05uT pour le champ magnétique.
En France, comme dans les plupart des pays, les normes officielles applicables sont données par le « Guide provisoire pour l’établissement de limites d’exposition aux CEM aux fréquences de 50/60Hz », publié par la commission internationale de protection contre les rayonnements non-ionisants. Ces valeurs limites ont été établies en fonction des effets immédiats que peuvent avoir sur l’être humain les courants induits dans l’organisme par les champs électriques ou magnétiques. Ces limites sont de 5000V/M pour le champ électrique, et 100uT pour le champ magnétique.
Autrement dit, ces normes officielles sont 1000 fois plus importantes que les recommandations du rapport BioInitiative pour le champ électrique, et 500 fois plus importante pour le champ magnétique. Seuls quelques pays européens prennent le seuil de 0.2 uT comme référence pour établir des normes, recommandations ou conseils.
Et pour les hyperfréquences alors ?
Et bien selon les normes officielles, les limites d’exposition sont de 41V/M pour la fréquence de 1800MHz, et de 58V/M pour la fréquence de 900MHz, là où le rapport BioInitiative recommande 0.6V/M à l’extérieur de chez soi, 0.5 V/M à l’intérieur, et 0.2V/M pour les chambres à coucher.
Les normes officielles, qui sont établies en fonction des effets thermiques uniquement, sont bien au-dessus de ces recommandations pour un habitat sain.
Zoom sur les lignes enterrées
On pourrait penser que les lignes enterrées enlèvent le problème lié au champ électromagnétique. Elles suppriment en effet le champ électrique, mais pas magnétique. Il est amoindri du fait que les fils soient torsadés, mais il n’est pas du tout annulé. J’étais intervenu pour mesurer les perturbations artificielles chez un de mes clients, où il y avait un champ magnétique dépassant largement les normes du rapport BioInitiative dans une chambre à coucher. Celui-ci venait de lignes qui avaient été enterrées à environ 10 mètre de la maison. Le problème de l’enfouissement des lignes est qu’il rend la nuisance magnétique invisible aux yeux des nouveaux riverains, et en général les lignes sont très proches des habitations et peu profondes (environ 1m).
Zoom sur la mise à la terre
La fiche de terre de la prise de courant permet de connecter les appareils électriques à la terre. Elle est indispensable pour les appareils dont les carcasses métalliques doivent être reliées à la terre : les ordinateurs, les réfrigérateurs, les machines à laver,… La mise à la terre assure une fonction de sécurité par rapport aux risques d’électrocution en cas de défaut d’isolement et permet également de d’atténuer les champs électromagnétiques qui peuvent rayonner dans le bâtiment. Officiellement, la norme de la prise de terre doit être au maximum de 100ohms. Cependant plus elle sera basse, moins il y aura de perturbations électromagnétiques chez soi. Cette norme a été établie afin d'éviter les risques d’électrocution, mais nous recommandons en géobiologie un maximum de 50ohms, et idéalement inférieur à 30ohms.
Quels sont les effets des rayonnements électromagnétiques ?
Nous avons vu que les ondes électromagnétiques étaient partout, nous parlons d’ailleurs d’électrosmog pour désigner ce bain d’ondes constant. De plus les normes officielles sont au-dessus des recommandations de certains scientifiques. Pourquoi de telles recommandations ?
Un principe de base est que le champ magnétique créer un échauffement cellulaire, du à l’agitation des molécules. C’est le même que dans un micro-onde : votre plat va se réchauffer par l’accélération du mouvement des molécules d’eau. Le champ magnétique peut ainsi avoir tendance à favoriser des inflammations, de la nervosité ou de l’agitation. Le champ électrique quant à lui crée un arrachement cellulaire, du à la collision des particules de matière. Il peut ainsi favoriser des dégénérescences et des malformations par la dégradation des cellules de notre corps. Les ondes électromagnétiques comportent ainsi des deux composantes.
D’après le rapport BioInitiative, on observe fréquemment chez les personnes exposées aux champs électromagnétiques plusieurs troubles : des maux de tête, du stress, des troubles du sommeil, de la fatigue, une nervosité et une irritabilité, un affaiblissement des défenses immunitaires, des troubles de la concentration et de la mémoire, une augmentation des risques de cancer, une augmentation des risques de fausses couches,…
Parmi les études qui ont été réalisées sur les conséquences des champs électromagnétiques, l’étude Reflex de 2004 financée par l’UE montre que les champs électromagnétique générés par les téléphones portables provoquent des ruptures dans les brins d’ADN, ce qui augmente le risque de mutation génétique. Une autre étude Interphone de 2010 montrait une augmentation des risques de tumeurs après 10 ans d’utilisation du téléphone portable.
L'électro-hypersensibilité
On entend de plus en plus parler de personnes qui souffrent d’électrosensibilité, qui sont très perturbées par les champs électromagnétiques, même très faibles. L’électrohypersensibilité, ou syndrome d’intolérance au champ électromagnétique, est une sensibilité physiologique caractérisé par des symptômes dont l’apparition est directement liée à l’exposition aux champs électromagnétiques. Parmi ceux-ci, nous trouvons des maux de tête, des vertiges, des nausées, des sensations de chaleur, des brûlures, des picotements, des rougeurs de la peau, de la fatigue, des tensions musculaires, des douleurs au niveau des articulations, des bourdonnements d’oreille, des anomalies du rythme cardiaque, des problèmes d’équilibre, des difficultés de concentration ou encore des troubles du sommeil.
Timothée Morin
04/07/2022
Les principaux réseaux géomagnétiques impactant pour l’être humain
Ce sont donc ceux qui sont à vérifier dans votre habitat.
Le réseau Hartmann tout d'abord, qui est en résonance avec le métal Nickel, de base fractale 7, polarisé alternativement positif/négatif, et avec une orientation cardinale. Il est vecteur de la psyché humaine, et son agressivité augmente avec les perturbations électro-magnétiques. Le réseau Curry ensuite, est en résonance avec le métal Fer, de base fractale 5, polarisé positif/négatif et avec une orientation semi-cardinale. Il se déforme avec les masses métalliques. Le réseau Grand Diagonal est en lien avec le métal Bronze, il n’a pas de base fractale mais sa polarité est toujours négative (donc il est toujours dévitalisant).
Je vous ajoute un autre réseau qui peut être intéressant de vérifier également : le réseau Wissmann, qui est en résonance avec l’aluminium, de base fractale 5, polarisé positif/négatif et avec une orientation semi-cardinale. Les bandes sont espacées de 10m en moyenne dans les deux sens, et sont larges d’environ 50cm. Il comporte également un plafond (donc une bande horizontale) à environ 17m. Il est connu pour favoriser les dégénérescences du cerveau, et donc il peut être un cofacteur pour Alzheimer et Parkinson.
Les réseaux telluriques sont encore mal connus
Il existe un grand nombre de réseaux, et il est fort probable que tous n’aient pas encore été découvert, c’est pourquoi il est capital à mon sens de garder un esprit ouvert. Les connaissances sont indispensables pour savoir quoi chercher (quels sont les caractéristiques des réseaux,…), mais il faut absolument garder en tête qu’il y a une grande part d’inconnu, car ce sont des énergies subtiles pour nos sens classiques. Il est important de prendre en compte cette inconnu lorsque nous faisons de la détection en géobiologie. De plus nous travaillons avec du vivant, donc les phénomènes évoluent, bougent : dans l’espace bien sûr (une étude géobiologique sera différente d’un lieu à un autre), mais également dans le temps.
Les réseaux géobiologiques sont des vecteurs d'informations
Il est important d'avoir à l'esprit que les réseaux sont des transmetteurs d’énergies, donc d’informations. Je vais vous livrer un exemple concret que j’ai vécu pour illustrer cela, mais j'ai d'abord besoin de vous présenter un réseau si vous ne le connaissez pas : le réseau Peyré. Il est en résonance avec le métal cuivre (et également avec l’or, j'y reviendrai plus bas), il a une base fractale 5, il est polarisé positif/négatif et a une orientation cardinale. Les bandes sont espacées d’environ 10m dans les deux sens, et sont larges d’environ 50cm. Il ne s'agit bien entendu que des ordres de grandeur, et non des valeurs figées. Habituellement il n’est pas intéressant de détecter ce réseau en géobiologie de l’habitat, puisqu’il est considéré comme peu dévitalisant.
Lors d’une intervention en géobiologie, une cliente me sollicitait pour un nettoyage vibratoire de son lieu de vie. Il s’avérait que le lieu avait en effet besoin de se libérer des mémoires passées, et de quelques vibrations basses. Cependant la lourdeur ressentie dans certaines pièces ne venait pas de ces phénomènes. Il se trouve qu’il y avait des liens énergétiques avec un autre lieu situé à proximité, qui contenait un objet très chargé énergétiquement. Il favorisait donc la présence d’énergies lourdes dans l’habitat. Les liens entre les deux lieux se faisaient pas deux réseaux : Curry et Peyré. La vibration basse de l’autre lieu était ainsi transmise via ces réseaux telluriques dans l’habitation, et notamment dans certaines pièces où étaient présents les réseaux (particulièrement lorsqu’il y avait des croisements de polarité négative, donc des nœuds négatifs). Une cheminée cosmo-tellurique négative avait également élue domicile dans l’habitation pour tenter de réguler les énergies lourdes du lieu.
Par conséquent ans ce cas précis, il était important de neutraliser également les informations dévitalisantes transmises par le réseau Peyré, qui est habituellement inoffensif pour l’être humain.
Réseaux vitalisants et dévitalisants : pas de jugement
Nous parlons des polarités négatives qui sont dévitalisantes, et c’est une réalité. Cependant il est important de comprendre qu’il n’y a pas de jugement à émettre là-dessus. En effet un réseau positif, donc vitalisant, peut avoir un impact négatif en termes d’énergie sur une personne. Cela dépend du contexte et de l’utilisation, donc de la conscience que nous mettons derrière. Par exemple, dormir sur un nœud positif de niveau 2 (donc 2 bandes positives qui croisent 2 bandes positives) peut épuiser la personne qui n’arrivera pas à dormir puisque trop stimulant. Inversement un réseau dévitalisant peut être utilisé en conscience comme point de décharge, pour évacuer une énergie négative par exemple.
Les Anciens l’avaient très bien compris, notamment les bâtisseurs des hauts lieux vibratoires. Vous l’avez peut-être deviné, nous allons à présent parler de géobiologie sacrée.
Qu’est-ce que la géobiologie sacrée ?
Nous pourrions la définir comme l’étude des énergies telluriques qui ont été mobilisées dans les lieux de pratiques spirituelles (comme les églises, les temples, ou encore les sites mégalithiques), pour favoriser des états de conscience modifiés nous reliant à des vibrations élevées. Vous l'aurez compris, nous nous intéressons ici à une partie spécifique de l’ensemble des énergies telluriques : les réseaux.
Quels réseaux telluriques sont associés à la géobiologie sacrée ?
Nous allons commencer par le réseau Solaire, en résonance avec le métal Or, qui a une base fractale 9. Il est toujours de polarité positive, donc vitalisant, et a une orientation cardinale. L’espacement entre les bandes est d’environ 700m, et la largeur d’une bande d’environ 130cm. Il y a un lien entre le réseau cuivre et le réseau or. En fait le réseau Peyré est le réseau cuivre, qui devient le réseau Or à partir de la fractale 3 (donc 3 bandes collées).
Ce réseau Or est très positif, c’est pourquoi il a été souvent utilisé dans les lieux sacrés, et qu’il a été sacralisé par l’être humain. En effet les Anciens ont sacralisé certains réseaux localement, c’est-à-dire que ces personnes initiées leurs ont conféré par l’intention et des rituels un aspect spirituel important. Ils leur ont parfois attribué un rôle défini sur certain point précis : purification, connexion à de hautes vibrations,…
En plus de sa vitalité, l’énergie transmise par le réseau Or porte des caractéristiques spécifiques. Il est en lien avec le chakra Racine et celui du Cœur, et il véhicule une énergie Yang, masculine, qui représente l’extériorité, et se manifeste par le symbole du Père. C’est une connexion de nature plutôt cosmique.
Un autre réseau très utilisé et sacralisé par les bâtisseurs est le réseau Lunaire, en résonance avec le métal Argent. Il a une base fractale 7, une orientation cardinale, et est polarisé positif/négatif. Ses bandes sont espacées de 9 à 10m dans les deux sens, et sont larges de 15cm environ. Il a également été sacralisé dans les lieux hautement vibratoires, et active le chakra Racine et le 3ème Œil (donc en lien avec l’intuition). Il a une énergie Yin, féminine, qui représente l’intériorité, et se manifeste par la déesse mère, la Vierge Marie, ou d’autres présences féminines. C’est une connexion plutôt tellurique.A savoir que la largeur des bandes est plus importante la nuit (à minuit), et dépend des mouvements de la Lune également. Elle atteint son apogée au solstice d’hiver, contrairement au réseau Or qui atteint sa pleine expansion à midi pendant la journée, et plus particulièrement au solstice d’été.
La sacralisation des réseaux peut se faire avec n’importe lesquels. Cependant d’après nos connaissances actuelles, les réseaux Solaire, Lunaire, Hartmann et Curry ont particulièrement été utilisés dans les lieux sacrés pour les faire vibrer énergétiquement, et favoriser des connexions spirituelles et l’évolution intérieure des êtres humains. Ces réseaux sont utilisés de différentes manières, en les fixant dans les murs en pierre dans les Églises par exemple, ou en bénéficiant des croisements énergétiques importants (par exemple des superpositions de nœuds de niveau élevé, par exemple Or et Argent). Les réseaux Hartmann et Curry ont notamment été manipulés pour créer des phénomènes énergétiques particuliers. Pour illustrer ça, je vais vous parler des « carrés d’activation ».
Les carrés d'activation
Les carrés d’activation sont des installations éthériques que l’on peut trouver devant les temples, les églises, les cathédrales et les mégalithes.
Ces « carrés magiques » comme ils sont parfois appelés, ont été conçu par les bâtisseurs initiés, qui ont utilisé leur connaissance des réseaux géomagnétiques. En effet ces carrés d’activation résultent de la division locale de lignes de réseau Hartmann. Ils possèdent 9 cases de 50cm à 1m de côté, et sont tridimensionnels : ce sont en réalité des volumes, des cubes composés de 27 cubes éthériques de dimension égale. Ces carrés se situent au croisement de deux bandes Curry positives.
Ils ont plusieurs fonctions. Il est tout d’abord recommandé de les parcourir avant de pénétrer dans les sites sacrés car ils ont un effet purificateur. Ils permettent d’équilibrer les chakras et de recentrer tous les plans du corps éthériques. Ils peuvent également permettre d’activer les capacités extrasensorielles. Ils jouent enfin un rôle dans l’activation du site sacré. Et tout cela, en conscience, bien sûr !
Si vous souhaitez aller plus loin dans l’étude des hauts lieux énergétiques, je vous conseille les ouvrages de Stéphane Cardinaux et de Georges Prat, qui ont beaucoup étudié cette question.
Je vous mets les liens renvoyant vers ces livres :
Stéphane Cardinaux, "Géométries sacrées" : https://amzn.to/3un49mM
Georges Prat, "L'architecture invisibles" : https://amzn.to/3RbEhUs
Timothée Morin
21/06/2022
Astuce N°1 : faites confiance à vos ressentis...et comparez !
J'utilise systématiquement un outil simple, totalement gratuit et toujours disponible pour ressentir les énergies d'un lieu quand j'interviens chez mes clients en géobiologie : le chakra du Cœur ! Si vous ressentez une gêne ou une pression au niveau du milieu du sternum quand vous entrez dans un endroit, il est fort probable que des énergies plus ou moins lourdes soient présentes. C’est de cette manière que je repère rapidement les principales pièces perturbées par ce type d’énergies dans les maisons.
Plus largement, je vous dirais de faire confiance à vos ressentis quand vous êtes connecté à votre corps, et d'y prêter attention. Ceux-ci peuvent être très variés et dépendent de chacun. Un même ressenti n'aura pas forcément la même signification pour deux personnes distinctes. C'est à nous de faire l'effort d'être à l'écoute, et d'essayer au fur à et mesure du temps de traduire notre langage corporel. Cependant si vous ressentez de l’angoisse, une atmosphère pesante, si vous êtes sur le qui-vive et que vous avez l'impression d'être souvent en alerte, alors il est possible que des énergies négatives soient présentes dans votre lieu.
Oui mais...
Cela est surtout valable lorsque nous visitons des endroits dans lesquels nous ne stationnons pas beaucoup. En effet chez soi, nous nous sommes habitués aux énergies présentes, et elles constituent en quelque sorte une référence énergétique. Nous baignons très souvent dans les énergies de notre lieu de vie, et il devient ainsi difficile de savoir si elles sont nocives pour nous ou non.
Je vous recommande ainsi d'essayer de prêter attention à comment vous vous sentez lorsque vous rester un moment chez des amis par exemple, ou lorsque vous êtes en vacances en dehors de chez vous. Est-ce que vous vous sentez plus en forme physiquement ? Est-ce que des douleurs s'atténuent voire disparaissent ? Comment est-ce que vous dormez ? Cette dernière question est essentielle, puisque c'est dans la chambre à coucher que nous rechargeons nos énergies, que notre corps est censé récupérer. Il est donc capital qu'il n'y ait pas de perturbations importantes dans cette pièce sur le long terme.
Par conséquent n'hésitez pas à comparer pour avoir une idée des énergies qui vous entourent chez vous.
Astuce N°2 : le test du verre d'eau
Ce test permet de détecter la présences d'énergies basses dans les différentes pièces de votre habitat. Autrement dit, il permet de savoir si la mémoire de votre lieu est chargée, et si des entités sont présentes et polluent énergétiquement votre maison.
Protocole de détection de vibrations basses :
1) Prenez un verre complètement transparent (sans dessins ni couleurs). Remplissez un tiers du récipient avec de l’eau de mer ou de l’eau avec du sel. Puis remplissez le jusqu’aux 2/3 avec du vinaigre blanc ou de cidre de pomme biologique. Enfin remplissez le tiers restant avec de l’eau pure.
2) Mettez le verre dans une pièce de la maison où vous pensez qu'il peut y avoir des vibrations basses. Mettez-le dans un coin caché et laissez reposer pendant 24 heures. Il est important que personne ne bouge le verre de place à ce moment-là.
3) Le lendemain, observez l’état du verre. S’il est comme comme vous l’avez laissé, les mauvaises vibrations ne sont pas dans cette pièce. Déplacez le verre dans une autre pièce et répétez le processus.
Si vous remarquez que le verre est comme gazéifié, maculé de couleurs ou teint de vert, alors des vibrations basses se trouvent à proximité.
4) Versez le contenu du verre dans les toilettes et tirez la chasse d’eau. Lavez bien le récipient.
Astuce N°3 : le test de la coquille Saint-Jacques
Cette astuce permet de neutraliser et d’atténuer temporairement les énergies telluriques et plus subtiles. J'explique ici sa mise en place dans la chambre à coucher (sous le lit) : c'est l'endroit essentiel pour la régénération du corps physique et des corps subtils !
Protocole de neutralisation temporaire :
1) Récupérez une coquille Saint-Jacques non cuite (important) et en parfait état (pas de fissures, de chocs,…).
2) Placez celle-ci sous votre lit, face contre terre. Elle doit donc être à plat, de préférence orientée Nord/Sud (la partie triangulaire, vers le Sud), et plutôt au même niveau que votre chakra du cœur (au centre du sternum) quand vous êtes allongé.
Je vous conseille de la laisser 5 jours. Si vous constatez des améliorations de la qualité de votre sommeil et de votre Vitalité, c’est probablement que votre chambre est perturbée. Cette astuce ne sert qu’à faire un test, elle ne remplace en rien la mise en place d’un système cohérent de réharmonisation de votre lieu.
Comment ça fonctionne ?
Ce test utilise les ondes de forme naturelles de la Coquille Saint-Jacques, qui se rapporte à la géométrie sacrée (lien avec le nombre d’or), et ainsi à des énergies en parfait équilibre. C’est ce qui explique ses vertus bénéfiques.
Timothée Morin
27/04/2022
Qu'est-ce qu'une Cheminée Cosmo-Tellurique ?
Les CCT sont des phénomènes de régulation des excès d'énergie sur le plan éthérique (donc invisibles à nos yeux). On les appelle "les belles dames" car il émane de leur énergie très féminine une grande douceur. Elles sont immenses comparés à notre taille (voir image ci-dessous). Ces phénomènes se déplacent en fonction de ce qui les attire, par exemple les énergies psychiques, les reliefs, les architectures pointues, les grands arbres les croisements de réseaux géomagnétiques,... Elles peuvent rester très longtemps au même endroit (parfois des siècles) si quelques chose les fixe et les retient.
La partie dépassant du sol peut atteindre plus de 100m de hauteur. Elle a la forme d'un tube de 60cm de diamètre (appelé "cœur"), qui est évasé au sommet. La partie souterraine à environ la même taille, et se termine par un bulbe : son "noyau". Ces cheminées sont entourées d'un champ d'énergie vitale plus ou moins grand, comparable à notre corps éthérique. Cela constitue comme un anneau autour de celles-ci, pouvant atteindre jusqu'à 30m de diamètre pour les plus importantes.
Elles possèdent également ce qu'on appelle des "bras". Ce sont comme des capteurs énergétiques semblables à des flèches qui partent du cœur et dont la longueur peut atteindre de 1 à 2.5 fois le diamètre de la cheminée (son anneau).
Les CCT possède une "respiration" qui se ressent particulièrement au niveau du centre. Cela se traduit par des cycles de montée puis de descente d'énergie, qu'il est possible de ressentir.
La polarité des Cheminées Cosmo-Telluriques
Les CCT sont soient de polarité positive (donc vitalisantes), soient de polarité négative (dévitalisantes).
Elles ont la particularité d'être très mobiles, et peuvent se déplacer facilement et se rendre dans des lieux vibratoires leur correspondant. Les CCT négatives sont ainsi attirées vers des lieux accumulant des énergies dévitalisantes (maisons avec des cours d'eau souterrains, croisements de réseaux négatifs, cimetières, lieux de souffrance...). Elles ont alors tendance à ramener beaucoup plus d'énergies cosmiques que telluriques.
A l'inverse, les CCT positives sont attirés par des lieux ayant des énergies vitalisantes (croisements de réseaux sacrés, certains lieux de prières,...). Elles ont tendance à ce moment là à apporter plus d'énergies telluriques que cosmiques.
Les bras des CCT ont la particularité d'être toujours négatifs, particulièrement à leur extrémité. Il est ainsi important en géobiologie de vérifier si des bras de CCT ne sont pas présents dans une habitation.
Les effets des cheminées Cosmo-Telluriques et leurs utilisations
Les CCT positives se nourrissant plus d'énergies cosmiques, nous avons en leur présence la sensation d'être attiré vers le haut. Elles peuvent favoriser la connexion avec de hautes vibrations (et aider à la méditation par exemple). Les Anciens les prenaient souvent en compte lors de la conception des lieux sacrés, pour la régénération (point thérapeutique). Cependant ils se servaient également de leur énergie dévitalisante. En effet, certaines CCT étaient placées à proximité de l'entrée du lieu, afin qu'un bras la traverse. Pourquoi ? Le fait de traverser ponctuellement un bras permet de décharger les énergies que nous avons accumulées pendant la journée, ce qui nous rend plus disponible et ouvert pour d’autres choses, comme des enseignements spirituels.
Les CCT négatives quant à elles se nourrissent plus d'énergies telluriques, ce qui provoque une sensation d'ancrage. On peut les utiliser ponctuellement et en conscience afin de favoriser ce dernier, pour évacuer les surplus d’énergies négatives que nous pouvons avoir en nous. Cela constitue alors un « point de décharge ».
Cependant, stationner pendant une longue période sur une CCT négative ou un bras baisse notre niveau de vitalité, et peut générer un épuisement. Notre corps a besoin de repos pour se régénérer correctement, et ce type de perturbation peut empêcher de récupérer face à une maladie par exemple, voire être un cofacteur de pathologies.
Timothée Morin
27/03/2022
Les Français passent en moyenne entre 20 et 22 heures sur 24 dans des lieux clos ou semi-clos, que ce soit dans leurs logements, au bureau, dans les écoles, les crèches ou encore dans les transports. Assurer une bonne qualité de l’air dans ces espaces de vie est donc primordial, d’autant plus que les sources de polluants y sont nombreuses.
Les conséquences sur la santé de la pollution de l'air intérieur
Selon une étude de l'ANSES d'avril 2014 intitulée "Étude exploratoire du coût socio-économique des polluants de l'air intérieur", la pollution de l'air intérieur entraînerait la mort de près de 20 000 Français par an : cancers du rein provoqués par l'inhalation de trichloréthylène, leucémies imputables à l'exposition au benzène, cancers du poumon liés au radon ou au tabagisme passif, intoxication au monoxyde de carbone, maladies cardiovasculaires provoquées par la respiration de particules, etc.
Une mauvaise qualité de l’air intérieur peut avoir des effets immédiats sur la santé tels que des maux de tête, des difficultés de concentration, de la fatigue, des nausées, des toux ou encore des irritations des yeux, du nez et de la gorge. Les conséquences à court terme peuvent être plus graves avec des troubles respiratoires, des crises d’asthme. Le monoxyde de carbone peut même provoquer l’asphyxie et le décès.
À long terme, la pollution de l’air intérieur peut provoquer des cancers, altérer la capacité respiratoire ou encore aggraver les maladies cardio-vasculaires. L’impact d’une mauvaise qualité de l’air intérieur varie selon les personnes exposées, les personnes âgées, les enfants ou encore les personnes souffrant de pathologies respiratoires étant plus touchées.
La problématique de la qualité de l’air intérieur est d’autant plus cruciale que l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments conduit à un confinement de plus en plus important de ces derniers. En effet, l’isolation des logements sans la prise en compte d’un recyclage de l’air adéquat peut entrainer des problèmes non négligeables.
Les polluants biologiques
Les agents infectieux (bactéries, virus, toxines) proviennent des êtres vivants, ou peuvent proliférer dans certains équipements mal entretenus (ventilation, etc.) La moisissure peut entraîner des infections. Les allergènes proviennent des animaux domestiques, plantes, moisissures, insectes et acariens.
Les polluants chimiques
On en trouve très souvent dans l'air intérieur :
Le monoxyde de carbone (CO)
C'est un gaz incolore, inodore et mortel à forte concentration. Il se dégage des appareils de chauffage ou de production d'eau chaude à combustion lorsque ceux-ci sont vétustes ou mal réglés. Les symptômes de l'intoxication sont les suivants : maux de tête, vertiges, vision floue, nausées, faiblesses des jambes, somnolence, syncope...
Les composés organiques volatils ou COV (formaldéhyde, solvants organiques, éthers de glycol, hydrocarbures...)
On en trouve dans les bâtiments neufs ou récemment rénovés. Ils peuvent être dégagés par de nombreux matériaux : colles, peintures, produits de nettoyage, parfums chimiques, feutres, mais aussi matériaux dits « naturels » comme le bois traité. La plupart sont cancérigènes.
Le plomb
Il est présent dans les vieilles peintures et provoque des anémies et des atteintes irréversibles du système nerveux central.
Les phtalates
Il sont contenus dans le plastique, et entraînent des troubles de la reproduction.
Les particules et les fibres
La poussière contient des particules, les plus petites pouvant être inhalées. Elle contient également des fumées, de la suie, des pollens, des spores et des allergènes. Les fibres sont des particules émises par certains matériaux (cellulose, chanvre, sisal, amiante, laine de verre, roche...). Certaines activités comme le bricolage, la cuisine ou le ménage émettent des quantités importantes de particules et de fibres qui restent en suspension dans l'air.
L'amiante est tristement célèbre car très cancérigène.
Les gaz radioactifs
Le radon est un gaz radioactif naturel contenu dans le sol et la roche partout à travers le monde, à des concentrations variables qui dépendent de la nature du sol et du degré de confinement des lieux.
Il n'est pas perceptible (indolore, incolore) et néanmoins dangereux, en effet, le radon est un cancérigène pulmonaire certain pour l'homme. L'exposition au radon est un des facteurs de risque majeurs en santé environnementale et ce gaz est impliqué de manière significative dans la survenue d'une maladie particulièrement fréquente et grave : le cancer du poumon. En France, le radon domestique est la deuxième cause de mortalité par cancer du poumon après le tabagisme.
Il peut s'accumuler dans les pièces où le renouvellement de l'air est très faible (caves, etc.)
Ce risque concerne surtout les régions au sous-sol granitique ou volcanique (Bretagne, Massif Central, Corse).
L’humidité
Certes, l'humidité n'est pas directement polluante, mais elle favorise la prolifération des moisissures et des acariens. L'humidité entraîne également une dégradation des colles des panneaux de particules, ce qui dégage du formaldéhyde.
Selon l'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI), 15 % des foyers présentent des contaminations fongiques visibles, des micro-organismes susceptibles d'induire diverses pathologies respiratoires comme les allergies, les infections ou les toxi-infections, chez les occupants.
Les différentes sources de pollution
- Les matériaux de construction, les produits de décoration, le mobilier
- Les activités humaines : bricolage, cuisine, tabagisme, bureautique, utilisation de produits d’entretien, de bougies, d’encens, de parfums d’intérieur, de pesticides, de cosmétiques ou encore de parfums
- La présence d’animaux et de plantes à l’origine notamment d’allergènes et de pollens
- Les appareils à combustion : chaudières, chauffe-eau, appareils de chauffage au bois
- L’extérieur des bâtiments : air extérieur et sol
Comment améliorer la qualité de l'air intérieur ?
Face à cette multitude de polluants et de sources, quelques gestes peuvent contribuer à améliorer la qualité de l’air intérieur :
- Aérer au moins 10 minutes par jour
- Veiller au bon entretien et au bon réglage des systèmes de chauffage et d’aération
- Privilégiez dès l'achat les produits qui contiennent le moins de polluants possibles. Certaines informations ont été mises en place pour vous aider, comme l’étiquette COV (obligatoire pour tous les produits vendus en France d'ici septembre 2013) qui signale le niveau d'émissions en composés organiques volatils, les écolabels et les pictogrammes, qui sont là pour vous signaler d'éventuels dangers (produit inflammable, toxique, etc.).
Timothée Morin
16/02/2022
L’eau constitue quantitativement plus de 70 % de chaque organisme vivant. Elle présente des caractéristiques physico-chimiques tellement particulières (et encore incomplètement connues) que nous pourrions presque croire à un état spécifique de la matière : un état qui lui serait propre, intermédiaire entre état liquide et état solide cristallin. En effet, l’eau présente une capacité unique à stocker des informations de nature non chimique.
Les influences vibratoires de l'eau
Les échantillons provenant d’eau de source non polluée, d’eau de pluie, d’eau de rivière prélevée en amont des villes présentent après congélation des structures cristallines harmonieuses et équilibrées. Les eaux prélevées en aval des villes, les eaux polluées, les eaux sortant des stations d’épuration (eaux du robinet), présentent quant à elles des structures difformes et dysharmonieuses.
Masaru Emoto s’est également attaché à travailler sur des échantillons d’eau distillée auxquels il a fait « écouter », avant congélation, différents types de musiques allant de la musique classique (Mozart, Bach, Chopin) aux musiques populaires traditionnelles et religieuses et aux musiques plus violentes (heavy metal). Là aussi les différences sont flagrantes, cristaux harmonieux pour les musiques classiques, traditionnelles, religieuses, cristaux malformés, brisés pour la musique heavy metal. Les différences sont les mêmes quand les échantillons d’eau distillée ont été mis en contact avec des morceaux de papier portant des mots ou groupes de mots chargés d’un message bienveillant (amour, joie, merci), en opposition avec d’autres mots véhiculant un message négatif ou violent (haine, Satan, « je vais te tuer »).
Nous nous souviendrons seulement que notre corps, composé de soixante-dix pour cent d’eau, semble donc capable d’emmagasiner une quantité formidable d’énergie – positive ou négative – et qu’il nous est sans doute possible d’échanger cette énergie non seulement avec les êtres vivants humains ou animaux avec lesquels nous sommes en contact, mais aussi avec notre environnement naturel, monde végétal, rivières et sources, mers et océans, par l’intermédiaire de cette eau miraculeuse qui nous est commune et où se trouve peut-être enregistrée toute la mémoire du monde.
Pour en revenir plus spécifiquement à la géobiologie : les cours d'eau souterrains transportent ainsi une information vibratoire chez vous. Celle-ci suivant sa qualité énergétique peut baisser le taux vibratoire de votre habitation. C'est pourquoi il est intéressant de regarder la nature vitalisante ou dévitalisante d'un cours d'eau passant chez vous. En effet, en plus du champ électrique du cours d'eau créé par frottement, l'eau en temps que telle porte également une information qui peut pomper notre vitalité sur le long terme.
Le père de la mémoire de l'eau
Dans les années quatre-vingts, Jacques Benveniste a démontré qu’un principe actif restait efficient même quand le taux de dilution arrivait à un stade où toute molécule dudit actif avait disparu de la solution. Comme si l’eau avait conservé, après disparition chimique de l’actif, trace d’une information de nature encore inconnue. Ce qui pourrait être une explication de l’efficacité des traitements homéopathiques.
Les détracteurs de l’homéopathie pensent que seuls les atomes et molécules peuvent véhiculer une information qui se doit d’être de nature chimique. Aujourd’hui les savants atomistes ont établi un nouveau schéma de la matière, où il s’avère que l’information peut être stockée et transmise par l’intervention de particules subatomiques et d’énergie vibratoire. L’eau est un support de choix pour l’enregistrement et la restitution de cette information non chimique.
Les nouveaux modèles atomiques
Pendant des décennies a prévalu le modèle atomique planétaire de Rutherford. Ce schéma prônait que l’atome, élément de base de la matière, était constitué d’un noyau formé de protons et de neutrons autour duquel tourbillonnent les électrons, comme la terre et les autres planètes du système solaire tournent autour du soleil.
Les règles physiques qui régissent ce système sont les mêmes que celles qui régissent le mouvement des planètes, et découlent directement des lois gravitationnelles de Newton qui veulent que deux masses proches sont attirées mutuellement par une force inversement proportionnelle au carré de la distance.
Les physiciens nucléaires ont perfectionné le modèle atomique de Rutherford et ont mis en évidence l’existence de particules subatomiques obéissant à des règles physiques différentes. Ainsi les quarks composant les neutrons et les protons sont maintenus en cohérence par un principe particulier appelé "gluon", et qui lui augmente d’intensité lorsque les particules s’éloignent, comme le ferait un ressort.
Les électrons quant à eux peuvent être définis par une caractéristique complexe, le "spin", qui définit leur mouvement (de rotation sur eux-mêmes ou autour de l’atome). Le spin est comme la signature unique, l’empreinte caractéristique de chaque corps simple. Ainsi le spin du plomb est différent du spin du fer, du calcium, du silicium, de l’uranium...
Quand deux corps simples entrent en contact, chacun tout en gardant son identité se charge du spin de l’autre, et peut-être se trouve dans cette capacité de mémorisation la véritable explication de la capacité des molécules d’eau à enregistrer une information non chimique – avec sans doute quelque chose en plus qui reste à définir...
Timothée Morin
27/01/2022
Les énergies cosmiques
Ce que nous appelons "énergies cosmiques" désignent tout ce qui compose le rayonnement cosmique : la Terre est sans cesse bombardée par des rayons provenant du Soleil bien sûr, mais également de notre Voie lactée, et d'autres galaxies plus lointaines. Dans l'état actuel des connaissances, nous savons que ces énergies cosmiques sont composées de particules, parmi lesquels nous trouvons des protons, neutrons, électrons, différents atomes et ions. Nous recevons également des ondes électro-magnétiques de fréquences plus ou moins élevées : rayonnements infrarouges, lumière solaire, ultraviolets, rayonnements X et gamma, et autres rayonnements cosmiques.
Certains d'entre eux (UV, X et gamma) sont dits "ionisants", c'est-à-dire qu'ils disposent de suffisamment d'énergie pour arracher des électrons aux atomes ou aux molécules en traversant la matière, et donc aux cellules qui en sont constituées. Une exposition à faible dose ne pose pas de problème, du fait de la capacité de notre corps à réparer les lésions produites. En revanche une exposition à de fortes doses peut générer des dysfonctionnements, des pathologies, voire la mort.
Les énergies telluriques
Nous bénéficions heureusement d'une protection tellurique. Le noyau terrestre est composé principalement de fer et de nickel, et est entouré de magma en fusion. De ce fait, la rotation de la Terre génère par un mécanisme de dynamo un champ magnétique agissant comme un bouclier terrestre. En effet, les particules éjectées par le Soleil sont arrêtées. Les rayons X, gamma et UV sont presque totalement absorbés par l'atmosphère, ainsi qu'une partie des infrarouges. Les rayonnements solaires et interstellaires ionisent les molécules présentes dans l'air en leur arrachant des électrons, ce qui charge l'air positivement. Ainsi la grande partie du rayonnement cosmique qui nous parvient est une énergie vitale nourricière pour les êtres vivants de la planète.
En plus du champ magnétique, la rotation terrestre produit des courants de convection : le magma circule du noyau de la planète vers l'écorce terrestre, générant un frottement à l'origine de courants telluriques. Ce rayonnement nourricier qui émane du sol véhicule des ions négatifs attirés par le rayonnement cosmique positif. Ces derniers montent ainsi vers le rayonnement cosmique ionisé positivement, et retourneront plus tard par milliards vers le sol en formant la foudre. Il existe donc un cycle de l'énergie.
Équilibre des énergies cosmo-telluriques
Lorsque ces rayonnements se complètent et s'équilibrent, les énergies cosmo-telluriques sont bénéfiques. Les échanges entre la Terre et le cosmos sont une base de la vie sur notre planète, notre organisme étant d'ailleurs conditionné pour émettre et recevoir des champs électro-magnétiques de faible intensité. L'énergie cosmo-tellurique est donc une énergie nourricière qui résulte de la rencontre entre le rayonnement cosmique positif descendant, et le rayonnement tellurique ascendant.
Cependant il arrive que les énergies telluriques prennent le dessus sur les énergies cosmiques, ou à l'inverse que les énergies cosmiques ne puissent par pénétrer la Terre. Cela génère un déséquilibre. Par exemple, nous trouvons à la verticale des cours d'eau sous-terrains ou des failles une émission de rayonnements ionisants qui peuvent nous agresser et entrainer des dommages sur notre santé, si l'exposition est prolongée.
La pratique de la géobiologie par le rééquilibrage énergétiques des maisons est ainsi de corriger cette dysharmonie, afin de créer un environnement sain, propice à la Vie !
Timothée Morin
15/09/2021
D'où viennent les réseaux géomagnétiques ?
Les réseaux telluriques sont des champs structurés de nature électro-magnétique qui remontent du sous-sol : ce sont donc des rayonnements.
Le noyau présent au centre de la Terre (composé en majorité de fer et de nickel) génère des lignes de champ magnétique autour de la planète. Ces dernières interagissent avec les métaux élémentaires présents en quantité abondante au sein de la croute terrestre. Cette relation fait ainsi émerger en surface des quadrillages plus ou moins réguliers de murs invisibles, appelés réseaux telluriques ou géo-magnétiques. Chacun d'entre eux est associé à un métal spécifique.
Ce sont des grilles à trois dimensions, constituées de cloisons (ou "bandes") verticales et de planchers (horizontaux) plus ou moins réguliers. Ces réseaux multiples maillent toute la surface du globe, et sont indépendants les uns des autres (ils se croisent donc de façon aléatoire).
Ils sont étudiés depuis les années 1930 par des chercheurs, médecins, physiciens, radiesthésistes comme Peyré, Ernst Hartmann, Manfred Curry, Lucien Romani, Kunnen, Wissmann, Reinhard Schneider, Hiller et Wittmann. Cependant les Anciens avaient déjà connaissance de ces énergies venant du sous-sol, et les utilisaient pour la construction de lieux sacrés (églises, cathédrales,...). Si vous souhaitez plus d'informations sur cette géométrie énergétique des lieux sacrés, je vous conseille les ouvrages de Stéphane Cardinaux qui a fait un travail remarquable sur ce sujet (ci-dessous).
Si cet ouvrage vous intéresse, je vous mets un lien (affiliation) vers son premier tome : https://amzn.to/3xIJn1S
Orientation et polarité des réseaux
Il existe un grand nombre de réseaux que l'on classe en deux catégories :
- Les réseaux dits "globaux", qui ont une orientation cardinale (N-S, E-O).
- Les réseaux "diagonaux", qui ont une orientation semi-cardinale (NE-SO, NO-SE).
Les bandes verticales des réseaux sont polarisées (tout comme le champ magnétique terrestre). On distingue ainsi des réseaux qui alternent des bandes vitalisantes pour l'être humain (polarité positive), et dévitalisantes (polarité négative). D'autres sont toujours dévitalisant (comme le réseau Bronze dit "Grand diagonal"), et d'autres toujours vitalisant (comme le réseau Or).
Détection des nocivités par radiesthésie
Ces réseaux peuvent être détectés par un appareil appelé géomagnétomètre. Celui-ci ne permet cependant pas de différencier un réseau d'un autre, puisqu'il ne donne que des indications globales : il quantifie des variations du champ local terrestre. Une fréquence étant propre à chaque métal, il est possible de distinguer les réseaux telluriques à l'aide de la radiesthésie (baguettes ou pendule). Cette différentiation est importante puisque les effets sur la santé dépendent de la nature de ces derniers.
La nocivité d'un réseau se présente surtout au niveau des croisements de bande, ce qui s'appelle un "nœud". En fonction de la polarité des bandes, nous avons donc des nœuds considérés comme pathogènes (négatif & négatif ou négatif & positif), et un nœud vitalisant (positif & positif).
En géobiologie, nous prêtons principalement attention à deux réseaux du fait de l'importance de leurs effets sur la santé : le réseau Nickel et le réseau Fer.
Le réseau Hartmann et ses effets sur la santé
Le réseau Nickel a été mis en évidence par le docteur Ernst Hartmann (1915-1992), médecin de l'Université de Heidelberg. Dès 1948, il a étudié les relations entre la météorologie, le sol et l'homme, et a créé en 1961 un groupe d'étude en géobiologie basé en Allemagne. Il est considéré comme l'un des fondateurs de la géobiologie moderne et de l'étude des géopathologies, bien que d'autres aient également posés les bases (Arsonval, Lakhovsky, Peyré). Il a donné son nom au réseau, qui s'appelle ainsi le réseau Hartmann, ou réseau "H".
Les bandes verticales de ce quadrillage sont constitués de lignes d'environ 20 cm, et s'orientent en général selon les pôles géomagnétiques (orientation cardinale). On retrouve ces murs invisibles en moyenne tous les 2m dans le sens Nord-Sud et tous les 2.5m dans le sens Est-Ouest. La hauteur entre deux cloisons horizontales varie environ de 2.3m à 3m. Il peut donc y avoir des nœuds à 2 plans, et d'autres à 3 (plus nocifs encore).
Comme les autres réseaux, qui s'imbriquent les uns dans les autres, le réseau Hartmann favorise le transfert des informations de différentes natures (cours d'eau, radioactivité,...), devenant ainsi localement plus agressif. Il est notamment réputé pour être vecteur de la psyché humaine (positive ou négative) : les bandes se dilatent 3 jours avant l'arrivée d'une catastrophe humaine (jusqu'à environ 80cm). Ce réseau est également sensible aux pollutions électromagnétiques artificielles modernes, et devient plus agressifs avec l'importance de celles-ci. Il se déforme également avec les mouvements de la lune et aux abords des cours d'eau souterrains.
Des cloisons resserrées et déformés indiquent un lieu fortement perturbé. Inversement plus ce réseau est régulier à mailles larges, plus le lieu est sain. Il nous renseigne ainsi sur la qualité biotique d'un lieu.
Les nœuds de ce réseau sont perturbants pour les organismes qui y sont soumis de manière prolongée. Les troubles, les maladies chroniques et aiguës se développent principalement à l'emplacement des lits et postes fixes, si la période d'exposition moyenne des individus est supérieure à quelques années. Il est difficile de présenter une liste exhaustive des conséquences sur la santé, puisque celles-ci peuvent être très variées, notamment quand le point pathogène est multifactoriel (par exemple : noeud Hartmann + cours d'eau souterrain). En dehors des nœuds, on peut observer sur le passage d'une bande des troubles plus inoffensifs, allant d'une sensation de gêne, d'irritation, jusqu'à des perturbations plus fonctionnelles.
Le réseau Curry et ses effets sur la santé
Le réseau Fer a été mis en évidence par un autre allemand : le docteur Manfred Curry. Il porte ainsi le nom de réseau Curry.
Les murs sont épais d'environ 40cm, et l'orientation est semi-cardinale (45° par rapport aux point cardinaux). La distance entre les bandes est assez variable, on considère en moyenne environ 5m dans les deux sens.
Le réseau se déforme en fonction des masses métalliques (ferriques ou aimantés) rencontrées sur son chemin. Par exemple il sera attiré par une plaque de cheminée en fonte, et il pourra être plus resserré à cet endroit, avec le risque d'avoir des nœuds également plus rapprochés. Si une cloison Curry stationne sur un objet métallique compact et volumineux, elle pourra dépasser les 1m de largeur localement.
Ce réseau est en lien avec le fer de l'organisme, et joue ainsi sur le sang et les émotions. Si nous stationnons longtemps et de manière répété au même endroit sur un nœud Curry, des influences dévitalisantes peuvent se faire ressentir sur le système nerveux, les os et les muscles.
Le Point Étoile
A noter que la superposition d'un nœud Hartmann et d'un nœud Curry constitue ce qu'on appelle un "point étoile", qui est très nocif puisqu'il perturbe de manière importante le fonctionnement des cellules, organes et glandes endocrines traversées. Ce point étoile à l'aplomb d'une faille constitue ce qu'on appelle une zone à cancer.
Timothée Morin
27/06/2021
Qu'est-ce que sont les failles ?
Les géobiologues s'intéressent aux "microfailles" souterraines, qu'on différencie des "macrofailles" comme celle du massif armoricain, ou la faille de San Andreas en Californie.
Les failles sont des discontinuités du sous-sol. Il peut s'agir de la séparation ou rupture d'une masse rocheuse, qui se déplacent l'une part rapport à l'autre. Cela génère des fissures dont l'ouverture peut aller de quelques centimètres à quelques dizaines de centimètres. Elles ne sont pas nécessairement visibles à la surface du sol, et peuvent être très localisée (2 mètres de long par exemple).
Un autre type de faille se caractérise par la juxtaposition de deux natures de sol différent, portant des polarités électriques différentes. Pour illustrer, un terrain sableux (chargé négativement) côtoyant un terrain argileux (chargé positivement) générera une différence de potentiel se traduisant par un champ électrique localisé en surface.
Quels sont les risques pour la santé ?
Ces discontinuités du sous-sol canalisent un rayonnement gamma qui fuse des entrailles de la Terre, issu des courants de convection (pour plus d'informations sur ces énergies telluriques, merci de consulter cet article). Malgré leur étroitesse, elles constituent des passages de moindre résistance pour ces rayonnements qui fusent du manteau de la Terre. Ils peuvent provoquer un manque d'écorce sur un arbre, une fissure sur le mur d'une maison, le dysfonctionnement persistant d'une machine. Ces failles canalisent également la diffusion des gaz radioactifs (radon 222) qui proviennent de roches émissives, tel que le granit.
Ces rayonnements et gazs sont dits "ionisant", c'est-à-dire qu'ils ont la capacité d'arracher des électrons aux atomes, et peuvent ainsi endommager les cellules. Ils multiplient les radicaux libres dans le corps chez le dormeur qui y reste quotidiennement exposé pendant 8h en moyenne, ce qui peut déboucher à terme sur l'apparition de maladies, tels que des cancers.
A cette discontinuité du sous-sol peut s'ajouter le passage d'un cours d'eau souterrain : on parle alors de faille humide. C'est la double peine. S'il s'agit de deux natures de sol différent, nous accumulons alors deux courants électriques en surface : celui généré par la différence des deux polarités de sol, et celui créé par le frottement de l'eau sur les parois (pour plus d'informations sur les cours d'eau souterrains, merci de consulter cet article). Ces failles humides sont d'autant plus nocives pour l'être humain que les failles sèches.
24/06/2021
Les cours d'eau souterrains génèrent des courants électriques
Les sources souterraines circulent à travers les discontinuités du sous-sol, donc les failles terrestres, sables et graviers. Le frottement de l'eau sur les parois rocheuses et la terre génère un courant électrique de l'ordre du millivolt. Celui-ci se décèle au niveau des rives (ou berges) du cours d'eau souterrain, et dépend du débit, de la largeur, et de la profondeur de la veine d'eau. La moyenne du champ électrique avoisine souvent les 12 à 15 millivolts.
Notre corps humain comme touts organisme vivant émet un champ électrique appelé "biochamp électrique". Celui-ci participe au bon fonctionnement des systèmes physiologiques, et donc à l'équilibre corporel. Les émissions électriques d'un cours d'eau souterrain vont venir perturber notre propre système électrique. Le corps va devoir ainsi lutter contre cette agression. Mais pourquoi faut-il se méfier la nuit, pendant notre sommeil ?
Quelles sont les conséquences sur la santé
Contrairement à la journée où nous nous déplaçons, la nuit nous subissons de manière continue cette nuisance pendant en moyenne 8h, possiblement répétée tout le long de notre vie, et la position allongée induit une plus grande surface d'exposition. De plus, le corps est à l'état de repos, il recherche donc un relâchement total pour accompagner les différentes phases du sommeil (léger, profond, paradoxal), qui va être perturbé par l'influence électrique souterraine.
Enfin lorsque nous dormons au-dessus d'un cours d'eau, les premiers organes impactés vont être les reins, qui sont associés en Médecine Traditionnelle Chinoise à l'élément Eau. Énergétiquement les reins se régénèrent la nuit. Le champ électrique d'une veine d'eau vient donc perturber leur fonctionnement et les processus d'assimilation des minéraux.
Il résulte de tout cela une fatigue, un épuisement du corps sur le long terme, qui baisse sa capacité de récupération, d'autoguérison. Cela peut ouvrir la porte à l'installation de pathologies variées que le corps ne sera pas en capacité de résorber naturellement.
En plus de cette nuisance de nature électrique s'ajoute un danger radioactif. En effet en frottant les roches granitiques, très présentes en Bretagne notamment, l'eau se charge de radon 222 (radioactif naturel), et le libère jusqu'à l'embouchure à la surface de l'eau. Il peut remonter jusque dans les maisons.
Ces conséquences sur la santé font que les cours d'eau souterrains font l'objet d'une attention particulière en géobiologie, d'autant plus que d'autres phénomènes telluriques peuvent venir s'ajouter à leur influence (failles, réseaux géomagnétiques,...).
Les cours d'eau souterrains peuvent fortement perturber l'équilibre des énergies cosmo-telluriques en place : pour plus d'informations, merci de cliquer sur cet article.
Timothée Morin
06/05/2021
La physique quantique s'intéresse à l’infiniment petit et à l'infiniment bref, où les lois générales de notre échelle macroscopique ne s'appliquent plus. Elle nous donne à voir un tout autre niveau de réalité, où tout vibre et est interconnecté.
Le principe de superposition, ou "tout vibre"
En effet le principe de superposition nous dit que les atomes peuvent se présenter de façon indéterminée sous forme d'ondes ou de particules, autrement dit être à la fois matière et vibration (non-matière). Rappelons que la lumière est composée de particules lumineuses, les photons. Ils sont des amas d'énergies élémentaires, ces derniers étant les unités de bases de la physique quantique (appelés "quanta" de rayonnement électro-magnétique). Nos cellules rayonnent de lumière, et sont ainsi composées de ce qu'on appelle des "biophotons" (de la lumière biologique). Les récentes découvertes de la physique quantique nous apprennent que le monde du vivant est empreint de ce fonctionnement quantique.
La photosynthèse par exemple, processus essentielle à la vie, a lieu grâce à une excellente antenne collectrice de lumière : la chlorophylle. Cette énergie est convertie en un temps record en nourriture pour la plante. Nous savons aujourd'hui que le niveau d'efficacité et de rendement des plantes est parfois supérieur à 95%. Cela est possible du fait de la superposition quantique : les photons lumineux interagissent avec les cellules et libèrent des particules d'énergie qui trouvent le chemin le plus rapide pour rejoindre les "centres réactionnelles" des plantes, qui sont responsables de la création des biomolécules essentielles à la vie. Comment est-ce possible ? Ces particules d'énergie agissent comme une onde pour rechercher le centre réactionnelle, et comme une particule une fois celui-ci trouvé.
Nous comprenons maintenant mieux l'affirmation "tout vibre", bien que nous ne percevons que l'aspect matériel de la réalité.
La relation corps et esprit
Nous pourrions à présent avancer une hypothèse : une particule de lumière qu'elle se comporte comme une onde (non-matière) ou une particule (matière), est bien une seule et même chose. Nous pourrions supposer que la pensée/l'esprit (non-matière) et le corps (matière) soient également une seule et même chose. Ainsi si je change mes pensées/mon esprit, je change mon corps. Une étude menée sur 400 guérisons spontanés du cancer (par Elmer et Alyce Green) montre que le seul point commun entre ces personnes qui ont guéri, est qu'elles avaient totalement transformé leur façon de voir la vie, leur esprit. Bien que ce ne soit qu'une hypothèse, cela donne matière à réfléchir.
L'intrication quantique, ou "tout est interconnecté"
Le principe de non-séparabilité nous apprend que deux objets en contact (par exemple deux photons qui s'éloignent) garde un lien malgré leur éloignement spatial et temporel. Le changement d'état de l'un provoque instantanément un changement d'état de l'autre, phénomène aussi appelé "intrication". La physique quantique nous donne à voir le monde comme un corps, où règne une interdépendance généralisée, et une causalité globale, du moins à cette échelle quantique. Nos organes des sens nous fournissent ainsi des informations qui sont vraies à une certaine échelle de la réalité, mais qui sont également fausses à une autre (l'infiniment petit). Comprenons qu'il y a de l'inconnu et de l'invisible tout autour de nous, qui dépassent nos cinq sens. Cette interdépendance généralisée que nous donne à voir la physique pourrait commencer à donner une explication aux soins énergétiques à distance, que certaines personnes peinent à concevoir.
L'importance de la dimension spirituelle
Depuis la Renaissance, nous avons limité nos manières de penser à nos sens matériels, en nous détachant de nous-même et en faisant abstraction des héritages passés des diverses cultures. Ces dernières intégraient une dimension spirituelle dans la vie des individus, par la pratique de la méditation, de la prière, et dans leur rapport au monde extérieur, par la pratique de différents rituels.
Basarab Nicolescu, théoricien spécialiste de la physique quantique, et fondateur du Centre international de recherches et études transdisciplinaires (Ciret), nous dit ceci : "Depuis la fondation de la physique quantique par Galilée, Kepler et Newton, nous sommes habitués à observer le monde à l'extérieur de nous. Toute l'information est là, dehors...et bien, non ! Car, comme nous le disent les Anciens, nous sommes aussi riches à l'intérieur de nous que l'univers tout entier, et peut-être même plus. Mais nous l'avons oublié sous la pression des préjugés et des croyances - dont les croyances scientifiques, qui sont les pires !"(KAIZEN - Souffle quantique " Hors-série N°10).
Comme le dit la célèbre formule des alchimistes : "Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas".
Mobiliser la capacité d'auto-guérison
Nous avons une réelle richesse intérieure, une vraie capacité d'auto-guérison et de réinformation de nos cellules. Aider les personnes à mobiliser ce potentiel intérieur, c'est cela le travail du praticien énergéticien, à mon sens !
La physique quantique nous apprend que nos cellules sont emplies d'énergies en perpétuel mouvement. Elles reçoivent et émettent constamment des ondes électro-magnétiques contenant des particules de lumière : les "photons". Nous renouvelons sans cesse nos cellules, et malgré cela nous maintenons une cohérence et de la stabilité en tant que corps physique, grâce aux différents échanges d'informations qu'entretiennent nos cellules entre elles, et avec notre environnement. Notre corps est soumis à des lois d'harmonie universelle. La maladie est vue par les pratiques holistiques comme une dissonance dans cet équilibre, perturbant ainsi l'harmonie originelle.
Il s'agit donc pour le praticien de trouver l'information causant ce déséquilibre interne, et d'apporter une énergie spécifique agissant sur la cause du phénomène : l'organisme est réinformé et les mécanismes énergétiques d'harmonisation relancés.