Informations

8 Le Roquet - 35250 Saint-Médard-sur-Ille

contact[a]alhena-geobioenergie.fr

La géobiologie comment ca marche

Cours d'eau souterrains et mémoire de l'eau en géobiologie

16/02/2022

Cours d'eau souterrains et mémoire de l'eau en géobiologie

L'impact sur la santé des cours d'eau souterrains peut s'expliquer de plusieurs manières en géobiologie (voir article). Un aspect moins connu cependant est l'information que l'eau peut véhiculer et diffuser énergétiquement dans les maisons.

 

 

L’eau constitue quantitativement plus de 70 % de chaque organisme vivant. Elle présente des caractéristiques physico-chimiques tellement particulières (et encore incomplètement connues) que nous pourrions presque croire à un état spécifique de la matière : un état qui lui serait propre, intermédiaire entre état liquide et état solide cristallin. En effet, l’eau présente une capacité unique à stocker des informations de nature non chimique.

 

Les influences vibratoires de l'eau

 

Les échantillons provenant d’eau de source non polluée, d’eau de pluie, d’eau de rivière prélevée en amont des villes présentent après congélation des structures cristallines harmonieuses et équilibrées. Les eaux prélevées en aval des villes, les eaux polluées, les eaux sortant des stations d’épuration (eaux du robinet), présentent quant à elles des structures difformes et dysharmonieuses.


Masaru Emoto s’est également attaché à travailler sur des échantillons d’eau distillée auxquels il a fait «  écouter  », avant congélation, différents types de musiques allant de la musique classique (Mozart, Bach, Chopin) aux musiques populaires traditionnelles et religieuses et aux musiques plus violentes (heavy metal). Là aussi les différences sont flagrantes, cristaux harmonieux pour les musiques classiques, traditionnelles, religieuses, cristaux malformés, brisés pour la musique heavy metal. Les différences sont les mêmes quand les échantillons d’eau distillée ont été mis en contact avec des morceaux de papier portant des mots ou groupes de mots chargés d’un message bienveillant (amour, joie, merci), en opposition avec d’autres mots véhiculant un message négatif ou violent (haine, Satan, « je vais te tuer »).

 

Nous nous souviendrons seulement que notre corps, composé de soixante-dix pour cent d’eau, semble donc capable d’emmagasiner une quantité formidable d’énergie – positive ou négative – et qu’il nous est sans doute possible d’échanger cette énergie non seulement avec les êtres vivants  humains ou animaux avec lesquels nous sommes en contact, mais aussi avec notre environnement naturel, monde végétal, rivières et sources, mers et océans, par l’intermédiaire de cette eau miraculeuse qui nous est commune et où se trouve peut-être enregistrée toute la mémoire du monde.

 

Pour en revenir plus spécifiquement à la géobiologie : les cours d'eau souterrains transportent ainsi une information vibratoire chez vous. Celle-ci suivant sa qualité énergétique peut baisser le taux vibratoire de votre habitation. C'est pourquoi il est intéressant de regarder la nature vitalisante ou dévitalisante d'un cours d'eau passant chez vous. En effet, en plus du champ électrique du cours d'eau créé par frottement, l'eau en temps que telle porte également une information qui peut pomper notre vitalité sur le long terme. 

 

Le père de la mémoire de l'eau

 

Dans les années quatre-vingts, Jacques Benveniste a démontré qu’un principe actif restait efficient même quand le taux de dilution arrivait à un stade où toute molécule dudit actif avait disparu de la solution. Comme si l’eau avait conservé, après disparition chimique de l’actif, trace d’une information de nature encore inconnue. Ce qui pourrait être une explication de l’efficacité des traitements homéopathiques.

Les détracteurs de l’homéopathie pensent que seuls les atomes et molécules peuvent véhiculer une information qui se doit d’être de nature chimique. Aujourd’hui les savants atomistes ont établi un nouveau schéma de la matière, où il s’avère que l’information peut être stockée et transmise par l’intervention de particules subatomiques et d’énergie vibratoire. L’eau est un support de choix pour l’enregistrement et la restitution de cette information non chimique.

 

Les nouveaux modèles atomiques

 

Pendant des décennies a prévalu le modèle atomique planétaire de Rutherford. Ce schéma prônait que l’atome, élément de base de la matière, était constitué d’un noyau formé de protons et de neutrons autour duquel tourbillonnent les électrons, comme la terre et les autres planètes du système solaire tournent autour du soleil.
Les règles physiques qui régissent ce système sont les mêmes que celles qui régissent le mouvement des planètes, et découlent directement des lois gravitationnelles de Newton qui veulent que deux masses proches sont attirées mutuellement par une force inversement proportionnelle au carré de la distance.

 

Les physiciens nucléaires ont perfectionné le modèle atomique de Rutherford et ont mis en évidence l’existence de particules subatomiques obéissant à des règles physiques différentes. Ainsi les quarks composant les neutrons et les protons sont maintenus en cohérence par un principe particulier appelé "gluon", et qui lui augmente d’intensité lorsque les particules s’éloignent, comme le ferait un ressort.
Les électrons quant à eux peuvent être définis par une caractéristique complexe, le "spin", qui définit leur mouvement (de rotation sur eux-mêmes ou autour de l’atome). Le spin est comme la signature unique, l’empreinte caractéristique de chaque corps simple. Ainsi le spin du plomb est différent du spin du fer, du calcium, du silicium, de l’uranium...

 

Quand deux corps simples entrent en contact, chacun tout en gardant son identité se charge du spin de l’autre, et peut-être se trouve dans cette capacité de mémorisation la véritable explication de la capacité des molécules d’eau à enregistrer une information non chimique – avec sans doute quelque chose en plus qui reste à définir...

 

Timothée Morin